Vendredi 28 février 2020 Le parti pris "Les Yeux de Noah" Arlon Mensonges, vérités et un regard sur les femmes en Corée Entre redécouverte d'un navire perdu et relations amoureuses complexes Jeudi 27 février 2020 Manchester United - FC Bruges 5-0 La Gantoise - AS Roma 1-1 Jeudi en Prime tout savoir sur le coronavirus en Belgique BD Natacha lhôtesse de lair souffle ses 50 bougies Ovifat / Les plaisirs de la glisse Brexit / Londres menace de quitter les négociations Accident à Longlier / De nombreux véhicules impliqués Violences Sexuelles / Les centres de prise en charge Chloroquine / Antipaludique utile contre le Covid-19 ? Coronavirus / Des employeurs prennent des mesures Tenerife 130 touristes pourraient quitter leur hôtel Coronavirus Les mots forts dun médecin à Macron Allemagne / Le coronavirus continue sa propagation Matthieu Peltier - Le complot du coronavirus Fred Jannin - Un nouveau magazine du Rikiki Juan d Oultremont - Une confession
LeCas Richard Jewell - Bande Annonce Officielle (VF) - Paul Walter Hauser / Sam Rockwell. Pour voir ce contenu, connectez-vous gratuitement. Connectez-vous. Délicat et d’actualité : "Little En 1996, Richard Jewell fait partie de l’équipe chargée de la sécurité des Jeux d’Atlanta. Il est l’un des premiers à alerter de la présence d’une bombe et à sauver des vies. Mais il se retrouve bientôt suspecté… de terrorisme, passant du statut de héros à celui d’homme le plus détesté des Etats-Unis. Il fut innocenté trois mois plus tard par le FBI mais sa réputation ne fut jamais complètement rétablie, sa santé étant endommagée par l’expérience. Critique du film À bientôt 90 ans, Clint Eastwood arbore toujours fièrement ses éperons de réalisateur légendaire, signant avec Le Cas Richard Jewell son trente-neuvième long-métrage. Ce film s’inspire de l’histoire vraie de Richard Jewell Paul Walter Hauser, un agent de sécurité qui empêcha qu’une attaque terroriste ne se produise aux Jeux Olympiques d’Atlanta en 1996, prévenant les autorités à temps avant que la bombe découverte n’explose. Érigé au rang de héros dès le lendemain de l’événement, l’euphorie retombe rapidement lorsque Richard se voit accusé à tort par la presse et le FBI d’être celui qui a posé la bombe. Sa vie et celle de sa mère Kathy Bates vont être bouleversées par la couverture médiatique de son cas », avant d’être acquitté presque trois mois plus tard grâce à son avocat, Walton Bryant Sam Rockwell. Rien qu’à lire le synopsis, plusieurs critiques ont rapidement soupçonné Le Cas Richard Jewell d’être une oeuvre de propagande crypto-trumpiste, éloge bas du front au vrai héros » que serait l’américain blanc moyen incarné par Jewell, rejeté par les élites que sont l’Etat et les médias. Mais à bien y regarder, la chose est tout de même plus complexe que cela. Ce n’est pas découvrir le pot aux roses que de savoir qu’Eastwood est un cinéaste de droite libertarienne, qui érige l’humanisme individuel, complexe et ambigu, contre le processus de mythification collective » et centralisée » de la figure du héros américain. Pour reprendre les mots de Pierre Berthomieu dans son incroyable Hollywood Moderne, le temps des mutants, le héros d’action américain se voit souvent forcé de céder le pas à celui qui construit son action par et pour les médias. Le personnage eastwoodien le plus emblématique de cette tendance est bien entendu J. Edgar Hoover, joué par Leonardo Dicaprio dans le biopic éponyme sorti en 2011, dont les souvenirs, mis en scène dans une apparente objectivité, se voyaient confrontés à leurs propres entorses à la vérité dans le segment final du film. Cette figure ambiguë, entièrement dévouée à la construction de son image, reflétait tout d’abord la relativité de la figure du héros, mais en révélait également la fragilité intrinsèque. Le héros » américain, tel qu’il est connu de tous, n’est que le fruit d’une médiation » de la réalité, c’est-à-dire un image construite, puis reçue par le public. On revient là à l’un des aspects essentiels du biopic américain classique, qui est la confrontation entre un géant », incarnation individuelle d’une universalité, et sa digestion baroque, déformée et reconstruite, par les médias ». On pense évidemment à Citizen Kane inspiré par les figures de William Randolph Hearst et d’Howard Hughes, mais lorsque l’on regarde de plus près la filmographie récente d’Eastwood, la plupart de ses films J. Edgar, American Sniper, Sully, Le 15h17 pour Paris, La Mule mettent en scène cette confrontation, à chaque fois selon des modalités différentes. Figure d’autorité Le Cas Richard Jewell se distingue de ses prédécesseurs par le fait que le personnage éponyme n’a pas tellement les compétences d’un héros. Contrairement aux soldats du 15h17, à Sully ou à Chris Kyle, Richard n’est pas une machine de guerre » animée par un pur sens du devoir et détachée de toute conscience de soi. Au contraire, Richard souhaite plus que tout correspondre à l’image du héros construite et relayée par la société américain. Lui aussi veut devenir une figure d’autorité », quitte à tomber malgré lui dans la caricature. Tout le début du film ne fait que nous montrer la bulle dans laquelle vit le personnage ses séances de tir » en salle d’arcade, son attitude de cowboy lorsqu’il devient surveillant dans une université, la photo où il apparaît en uniforme de police, placée fièrement au milieu du salon, etc. Richard veut renvoyer une image de lui-même qui corresponde à un idéal, et le film ne cesse de mettre en scène ce risque de soumission aux apparences, qui concerne aussi bien le héros que l’ennemi. On pense notamment au moment où Richard soupçonne et suit un individu dans la foule, avant de découvrir que son sac ne contient que des packs de bière. Comme en réponse aux préjugés de son personnage, le film inclut même dans sa mise en scène une ambiguïté, notamment en ce qui concerne son rapport aux armes. Deux scènes se répondent à ce sujet, et expriment deux sentiments non-contradictoires dans le premier cas, nous voyons Richard tirer froidement sur une cible à une séance de tir, dans le second, nous découvrons, presque amusés, la somme incroyable d’armes à feu qu’il stocke chez lui. D’un côté, l’effroi, de l’autre, le ridicule. Le film ménage les deux tendances, sans promouvoir ou condamner qui que ce soit, et se garde dans tous les cas de prétendre à une quelconque retranscription objective des faits et des personnes. Questionner le mythe En choisissant de montrer le Richard Jewell joué par Paul Walter Hauser en train de regarder à la télévision le véritable Richard Jewell, le film tente d’expliciter ses propres conditions d’énonciations, assumant en partie sa part d’artifice, et permettant aux spectateurs de se mettre à distance du personnage. Comme un écho métatextuel à son propre sujet, le film met à la fois en scène l’inadéquation de Richard avec la société qu’il admire, ainsi que son inadéquation partielle avec sa propre incarnation filmique. En fin de compte, Eastwood mêle le questionnement du mythe américain à celui de la représentation du réel au cinéma, au travers d’une problématisation radicale de l’image et de son pouvoir. La réalité est toujours plus complexe que sa réception. Voilà ce que comprend Richard Jewell à la fin du film, même si sa vision manichéenne du monde d’un côté les good guys », de l’autre les bad guys » est quelque peu ménagée par Eastwood. Son film n’est pas exempt de tout défaut, et trouve quelques échos problématiques par rapport à son propre discours. On pense par exemple à sa représentation franchement discutable du monde médiatique et du FBI, notamment au travers du personnage de la journaliste Kathy Scruggs Olivia Wilde, représentée comme une arriviste aux dents longues prête à tout pour avoir un scoop. Le film daigne lui accorder un semblant de rédemption dans ses derniers instants, mais l’entreprise est trop balourde et simpliste pour ne pas être pointée du doigt. Toutes ces limites traduisent néanmoins une pensée radicalement complexe, contradictoire et passionnante. Au sortir de sa critique de l’image et du processus de mythification du héros américain déjà entamée neuf ans auparavant avec J. Edgar, Eastwood affirme clairement son rejet de l’Etat et du monde médiatique, qu’il dénonce comme étant les bras armés d’une médiation réductrice et biaisante de la grandeur » véritable. Cette vision, par ailleurs clairement critiquable et questionnable, pourrait faire écho au discours de défiance générale entretenu par Donald Trump à l’égard des institutions, mais s’inscrit aussi et surtout dans le prolongement d’une filmographie entamée bien avant son arrivée au pouvoir, dont la complexité était jusqu’alors acceptée en conscience pour ce qu’elle était. Aussi serait-ce dommage de réduire ce film aux scandaleux braillements de l’actuel président américain, bouffi par la toute-puissance de la persona médiatique justement dénoncée par Eastwood dans son film. À voir en conscience donc, mais à voir absolument. Bande-annonce 19 février 2020 – De Clint Eastwood, avec Paul Walter Hauser, Sam Rockwell, Kathy Batespalmares des sorties Vod, Dvd, Blu-ray2020Pour accéder à une bande annonce du film, cliquez sur l'affiche du agrandir l'affiche du film, cliquez sur la jauge de couleur à droite de la fiche du film. Film 2019 Japon-Chine de Makoto ShinkaiDurée 1h54Genre Japanimation, Drame, Fantastique, Romance Hodaka, 16 ans, fugue. Il tente de trouver un emploi à Tokyo. Après plusieurs échecs, il est pris comme pigiste dans un magazine traitant du surnaturel. Sa première mission consiste à enquêter sur le phénomène des Filles-Soleil ». Nombre de votants 37 989 internautes Note 7,5 /10 sorties vod, dvd et blu € Film 2019 USA de Clint EastwoodAvec Paul Walter Hauser, Sam Rockwell, Kathy BatesDurée 2h09Genre Drame, Biographie, Policier Richard Jewell, un agent de sécurité, est acclamé dans un premier temps comme un héros pour avoir empêché un attentat terroriste aux Etats-unis lors des jeux olympiques. Puis il est suspecté d'être lui-même le terroriste. Nombre de votants 88 335 internautes Note 7,5 /10 sorties vod, dvd et blu € Film 2019 France de Jérémy ClapinDurée 1h21Genre Animation, Drame, Fantastique, Romance Une main coupée s'échappe d'un laboratoire pour retrouver le corps auquel elle appartient. Ailleurs dans Paris, un jeune livreur, au pied d'un immeuble, tombe amoureux de la voix de l'une de ses clientes. Nombre de votants 33 129 internautes Note 7,5 /10 sorties vod, dvd et blu € sorties vod et € Film 2019 USA-Chine de Lulu WangAvec Shuzhen Zhao, Awkwafina, X MayoDurée 1h40Genre Comédie dramatique Billi vit à New-York mais est tiraillée entre ses valeurs américaines et chinoises. Elle va en Chine alors que sa grand-mère est atteinte d'une maladie grave, un cancer du poumon, que toute sa famille lui cache. Nombre de votants 62 984 internautes Note 7,5 /10 sorties vod et € Film 2017 Allemagne-Norvège-Suède de Iram HaqAvec Maria Mozhdah, Adil Hussain, Rohit SarafDurée 1h47Genre Drame Nisha, une jeune fille de 15 ans, vit en Norvège dans une famille pakistanaise traditionaliste. Un jour, son père la surprend alors qu'elle enlace son petit ami. Furieux, il envoie Nisha au Pakistan afin de préserver la réputation de la famille. Nombre de votants 5 717 internautes Note 7,4 /10 sortie € Film 2019 USA-Allemagne de Terrence MalickAvec August Diehl, Valerie Pachner, Maria SimonDurée 2h54Genre Drame, Biographie, Romance, Guerre Un paysan autrichien refuse de prêter allégeance à Hitler et de combattre aux côtés des nazis. Résister ainsi est assimilé à une trahison et la punition est la peine de mort. Nombre de votants 53 518 internautes Note 7,4 /10 sorties vod, dvd et blu € OPTIONS AFFICHAGE SONDAGEDans les OPTIONS AFFICHAGE disponibles ci-dessus, se trouve l'option " Aspect graphique ", qui permet de permuter entre un thème graphique sombre et un thème graphique ces deux thèmes, lequel est votre préféré, ou bien lequel vous déplaît le moins ! ?
Découvrezla bande annonce de Le cas Richard Jewell de Clint Eastwood. Avec Paul Walter Hauser, Sam Rockwell et Kathy Bates. Synopsis et détails : En 1996, Richard Jewell fait partie de l'équipe chargée de la sécurité des Jeux d'Atlanta. Il est l'un des premiers à alerter de la présence d'une bombe et à sauver des vies.
Réalisé par Clint Eastwood Distribution Paul Walter Hauser, Sam Rockwell, Olivia Wilde, Jon Hamm, Kathy Bates, Nina Arianda Genre Drame Qualité Numérique Synopsis En 1996, Richard Jewell fait partie de l'équipe chargée de la sécurité des Jeux d'Atlanta. Il est l'un des premiers à alerter de la présence d'une bombe et à sauver des vies. Mais il se retrouve bientôt suspecté... de terrorisme, passant du statut de héros à celui d'homme le plus détesté des Etats-Unis. Il fut innocenté trois mois plus tard par le FBI mais sa réputation ne fut jamais complètement rétablie, sa santé étant endommagée par l'expérience.Le cas Richard Jewell », un film de Clint Eastwood « Il n'y a pas de deuxième acte dans les vies américaines » Francis Scott Fitzgerald, Le Dernier Nabab, 1941 cité en exergue de Bird, Clint Eastwood, 1988) Le héros ne va plus de soi. L'héroïsme s'est opacifié. Sa cause si consensuelle semble pourtant en voie d'obscurcissement.
Lundi 02 mars 2020 Vives tensions à Lesbos où des habitants empêchent des migrants de... Des migrants sur la route du camp surpeuplé de Moria sont arrivés en... Des habitants de Lesbos tentent d'empêcher un canot de migrants d'aborder. Des gardes-côtes grecs tentent de repousser un canot de migrants à Lesbos Les gilles du fond. Le ministre de l'Intérieur allemand refuse de serrer la main d'Angela... Giancarlo Marcheggiano, le Secrétaire général adjoint des Ecoles... Coronavirus des suppressions de rassemblements à venir ? Bourgmestres bruxellois Parler d une seule voix Écoles Woluwe-St-Lambert fait cavalier seul Rentrée scolaire on se fait la bise ou pas ? Coronavirus Parler d une seule voix Le Grand Oral de Nathalie Gallant Une sélection de livres en mode "Ceci n'est pas Lovecraft... Maggie De Block, ministre de la santé Open VLD invitée de Matin... Le Flipper Le fort de Pontisse, le paradis des ânes Des dizaines de milliers d'Ouïghours détenus dans des camps d'internement Thérapie TAXI Candide Crush Pure on Stage Interview de Jordan Rakei sur Classic 21LeCas Richard Jewell - Bande Annonce Officielle (VOST) - Paul Walter 02:07. Cinéma : Clint Eastwood se livre dans "La Mule" 02:10. Cinéma : Clint Eastwood, un inusable cow-boy et une Il y a une bombe au Parc du Centenaire. Il vous reste trente minutes ». Pour le monde entier, Richard Jewell est d’abord ce vigile qui a découvert le sac à dos contenant une bombe en 1996, à Atlanta. Grâce à sa réactivité, de très nombreuses vies ont été épargnées. Mais en quelques jours, l’agent de sécurité aspirant à intégrer la police passe du statut de héros à celui du suspect N°1 aux yeux du FBI. Alors qu’il est traîné dans la boue par la presse et l’opinion publique, sa vie est détruite. Clamant haut et fort son innocence, il sollicite Maître Watson Bryant, connu pour son esprit frondeur, pour se défendre. Mais l’avocat doit affronter le FBI et la police d’Atlanta et de Géorgie réunis et il est rapidement dépassé par les événements. Sans compter qu’il lui faut aussi mettre Richard en garde contre ceux qui se sont mis en tête de l’anéantir… Le Cas Richard Jewell - Bande Annonce Officielle VF - Paul Walter Hauser / Sam Rockwell Le film est réalisé par Clint Eastwood, cinéaste oscarisé, sur un scénario de Billy Ray CAPITAINE PHILLIPS, cité à l’Oscar, d’après l’article “American Nightmare—The Ballad of Richard Jewell” de Marie Brenner, paru dans Vanity Fair. Eastwood a également produit le film sous l’égide de sa société Malpaso, aux côtés de Tim Moore, Jessica Meier, Kevin Misher, Leonardo DiCaprio, Jennifer Davisson et Jonah Hill. DATE DE SORTIE 19/02 was1B.