27octobre 2020. Les rĂȘves sur les morts sont trĂšs courants et leur symbolisme est Ă©galement trĂšs important. Si vous avez rĂȘvĂ© de quelqu’un qui est mort, vous ne devriez pas avoir peur, car dans la plupart des cas, ces rĂȘves ne sont pas associĂ©s Ă  la mort dans la vraie vie. Ces rĂȘves signifient gĂ©nĂ©ralement que la personne
Avertissement ce top va faire mal Ă  votre petit cƓur. Il vous apprendra que dans les chansons populaires que vous avez tous dĂ©jĂ  Ă©coutĂ©es au moins un million de fois, il y a des paroles qui parlent de plein de trucs toxiques et qui le sont parfois aussi un peu. On est donc clairement sur de la bonne humeur, de la joie, et de l’envie de sourire Ă  la vie. Pas du tout. 1. Every Breath You Take de The Police C’est la chanson de gros stalkeur par excellence puisque Sting y explique Ă  son ex qu’il la surveillera toute sa vie. C’est lĂ©gĂšrement flippant, mais avec une musique aussi belle derriĂšre ça passe super bien Chaque respiration que tu prends, chaque mouvement que tu fais, chaque lien que tu brises, chaque dĂ©cision que tu prends, je te regarderai [
] Oh, ne vois-tu pas que tu m’appartiens ? » 2. "Stay" de The Kid Laroi and Justin Bieber Le premier couplet de la chanson, c’est clairement le discours de quelqu’un de toxique qui essaie de faire rester la personne qu’il aime ou qu’il veut possĂ©der, et ça fait un peu bader si vous avez dĂ©jĂ  vĂ©cu ce genre de situation Je fais prĂ©cisĂ©ment ce que j’avais dit que je ne ferais jamais. Je t’ai dit que j’allais changer, mĂȘme si je savais que c’était impossible. Je sais que je ne retrouverai jamais quelqu’un comme toi. Il faut que tu restes, que tu restes. » 3. Girlfriend d'Avril Lavigne La meuf conseille Ă  un gars de quitter sa meuf parce qu’elle ne l’aime pas. Si un jour un de vos potes vous dit ça sans aucun argument valable derriĂšre, c’est lui que vous devez quitter immĂ©diatement Hey hey toi toi, Je n’aime pas ta copine, Pas question pas question, T’as besoin d’une nouvelle » 4. Unfaithful de Rihanna Comme son nom l’indique, la chanson parle d’une meuf infidĂšle qui fait du mal Ă  son mec parce qu’elle le trompe. Mais elle reste quand mĂȘme avec lui alors qu’il en souffre. C’est pas hyper chic comme comportement Et je ne peux pas ĂȘtre honnĂȘte avec lui. Et je sais qu’il sait que je suis infidĂšle, et ça le dĂ©truit Ă  l’intĂ©rieur. » 5. Stay Stay Stay de Taylor Swift La chanson parle clairement d’une meuf qui veut retenir son mec alors qu’elle a l’air de mal se comporter avec lui. Elle se met en colĂšre pour rien, mais comme il est le seul Ă  la supporter un minimum, elle voudrait qu’il reste en couple avec elle. Moi je dis Ă  un moment y’a aucun mal Ă  aller voir un psy Reste et je vais t’aimer pendant pas mal de temps, Personne d’autre ne va m’aimer quand je me fĂąche, fĂąche, fĂąche, Alors je crois que c’est prĂ©fĂ©rable que l’on reste tous les deux » 6. Kiss With a Fist de Florence and the Machine Bon, bah lĂ  encore il ne faut pas ĂȘtre sorti de Saint-Cyr pour constater le caractĂšre toxique des paroles de la chanson. En gros, on parle d’un couple qui s’embrasse avec les poings », donc qui se fout rĂ©guliĂšrement sur la gueule tout en continuant de s’aimer. Chacun ses goĂ»ts, mais gĂ©nĂ©ralement ça ne rend pas les gens heureux Tu m’as frappĂ©e une fois, je t’ai frappĂ© en retour. Tu m’as donnĂ© un coup de pied, je t’ai donnĂ© une gifle. Tu as balancĂ© une assiette vers ma tĂȘte puis j’ai mis le feu Ă  notre lit. » 7. Love the Way You Lie d'Eminem et Rihanna Probablement une des chansons les plus tristes de ce classement. C’est un couple qui passe son temps Ă  se dĂ©chirer, avec un homme qui s’était jurĂ© de ne jamais ĂȘtre violent et qui pourtant l’a Ă©tĂ©, et une femme qui n’arrive pas Ă  se casser parce qu’elle aime ses mensonges. Si vous voulez savoir ce que c’est qu’un couple qui ne fonctionne pas, allez lire le reste des paroles Je t’ai dit que c’était de ma faute, regarde-moi dans les yeux. La prochaine fois que je m’énerve, je mettrai mon poing dans le mur. La prochaine fois, il n’y aura pas de prochaine fois, je m’excuse, mĂȘme si je sais que ce sont des mensonges. J’en ai marre de jouer, je veux juste qu’elle revienne. Je sais que je suis un menteur. Si jamais elle essaie de partir Ă  nouveau je l’attache au lit et je mets le feu Ă  cette maison. » 8. Blurred Lines de Robin Thicke Au-delĂ  du caractĂšre dĂ©gueu du clip qui objectifie totalement les femmes, les paroles sont elles aussi largement tendancieuses. Le pire est probablement ce dĂ©lire de good girl », de gentille fille qui ferait tout ce que son maĂźtre dĂ©sire d’elle. Bref, ça file un peu la nausĂ©e J’ai toujours rĂȘvĂ© d’avoir une gentille fille. Je sais que tu le veux. Je sais que tu le veux. Je sais que tu le veux. T’es une gentille fille » 9. Treat You Better de Shawn Mendes GĂ©nĂ©ralement, quand un mec dit Ă  une meuf qu’elle serait mieux avec lui plutĂŽt qu’avec le mec qu’elle a dĂ©jĂ , c’est toxique. C’est le cas 90% du temps selon mes propres estimations Dis-moi pourquoi nous perdons du temps, surtout pour gaspiller nos larmes, quand tu devrais ĂȘtre Ă  mes cĂŽtĂ©s, je sais que je peux mieux m’occuper de toi, mieux qu’il ne le fait » 10. La Symphonie n°40 de Mozart Bon ok y’a pas de paroles lĂ , mais je suis sĂ»r que s’il y en avait eu elles auraient Ă©tĂ© hyper toxiques. Est-ce que vous aussi vous connaissez ces paroles de chanson par cƓur ? Si oui, vous ĂȘtes officiellement normaux. QuemalgrĂ© tout, vois-tu je t' aime Et que j'ai mal Ă  en mourir Je voudrais tant que tu comprennes MalgrĂ© tout ce qui s'est passĂ© Que je t'aimais plus que moi-mĂȘme Et que je ne peux t'oublier x2. L. L'Ame-Stram-Gram: En moi, en moi toi que j' aime Dis-moi, dis-moi quand ça n'va pas Il n'y a que ça qui nous gouverne Dis-moi combien de fois Partager mon ennui

J Ai RĂȘvĂ© Qu On Pouvait S Aimer Paroles â‰Ș â‰Ș J'ai RĂȘvĂ© Qu'on Pouvait S'aimer...≫ ≫ Ben - Entre RĂȘves Et... - Lyrics Avec Eddy De Pretto / Peut On Servir De L Alcool Dans Un Sauna Gay Route Jacques Vabre Jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer. Mais ce nest pas la rĂ©alitĂ© jai rĂȘvĂ© quon pouvait sen aller. Jai rĂȘvĂ© quon pouvait ĂȘtre ensemble jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer jai rĂȘvĂ© de nous deux. Je crois que je taime mon nounours. Un peu lamĂ©rique des annĂ©es 90. Le rĂȘve amĂ©ricain, qui est pour tout le monde est une volontĂ©. Moi, jai grandi dans ce monde-lĂ , dans ce . Jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer. Jirai cracher sur vos tombeaux. Nest pas le vrai, nest pas le beau. Jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer. Jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer. On y Ă©tait - que lon aime ou non sa musique et ses chansons, on ressort bluffĂ©. Jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer au souffle du vent, . Jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer au souffle du vent sĂ©levait lĂąme, lhumanitĂ© son manteau de sang jirai cracher sur vos tombeaux nest pas le vrai, nest pas le beau jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer. Jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer. Jirai cracher sur vos tombeaux. Jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer au souffle du vent, dm c gm a sĂ©levaient lĂąme, lhumanitĂ©, son manteau de sang. F c gm dm jirai cracher sur vos tombeaux nest pas le vrai, nest pas le beau. Jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer. Jirai cracher sur vos tombeaux. Jai ĂȘvĂ© jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer au souffle du vent sĂ©levait lĂąme, lhumanitĂ© son manteau de sang jirai cracher sur vos . Je rĂȘve son visage je dĂ©cline son corps. Jaurais tant Ă  lui dire si javais su parler. Sil suffisait quon saime, sil suffisait daimer. Couple Sexe Amour.. Davoir mis son Ăąme dans tes mains tu las froissĂ©e comme un chagrin et davoir condamnĂ© vos diffĂ©rences nous ne marcherons plus ensemble sa vie ne bat plus que dune aile dansent les flammes, les bras se lĂšvent lĂ  oĂč il va, il fait un froid mortel si lhomme ne change de ciel pourtant jai rĂȘvĂ© jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer au souffle du vent. Paroles laissons-les rĂȘver de john mamann. Et quon vit tous sous la mĂȘme lumiĂšre. Laissons-les rĂȘver, un peu saimer. Je reve son visage, je decline son corps. Et puis je limagine habitant mon decor. Jaurais tant a lui dire si javais su parler. Chanson rĂȘver, artiste mylĂšne farmer, type document partitions paroles et accords. Dm jai rĂȘvĂ© qu c on pouvait s gm aimer. Jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer. Diaporama, vidĂ©o mylĂšne farmer, un jour de grand blues. Jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer. Jirai cracher sur vos tombeaux. Jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer javais rĂȘvĂ© du mot aimer paroles2chansons dispose dun accord de licence de paroles de chansons avec la sociĂ©tĂ© des editeurs et auteurs de musique seam paroles de chansons de mylene farmer. Les paroles de la chanson rĂȘver font rĂ©fĂ©rence aux uvres littĂ©raires suivantes. Jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer au souffle du vent. Quand une sĂ©rie de meurtres visant de jeunes enfants survient dans la rĂ©gion, elle sinquiĂšte pour les siens, comme beaucoup de familles. Jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer a quoi bon abattre des murs pour y dresser des sĂ©pultures a force dignorer la tolĂ©rance nous ne marcherons plus ensemble les anges sont las de nous veiller nous laissent comme un monde avortĂ© suspendu pour lĂ©ternitĂ© le monde comme une pendule qui sest arrĂȘtĂ©e jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer. Paroles de la chanson jai rĂȘvĂ© par nicolas peyrac. Comme un chagrin et davoir condamnĂ© vos. paroles et explication de rĂȘver mylĂšne farmer. Jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer. Jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer. À quoi bon abattre des murs pour y dresser des sĂ©pultures Ă  force dignorer la tolĂ©rance nous ne marcherons plus ensemble. Les anges sont las de nous veiller nous laissent comme un monde avortĂ© suspendu pour lĂ©ternitĂ© le monde comme une pendule qui sest arrĂȘtĂ©e. Shemale Plan Cave Avec Mon Ex Porn.. Peut On Servir De L Alcool Dans Un Sauna Gay Asiatique Ladyboy Fug Guy Jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer au. Et sans peur, je tembrasserai et sans peur, je tenlacerai et si tout ça nest pas vrai et si tout ça nest quun rĂȘve. L humanitĂ© son manteau de sang jirai cracher sur vos tombeaux nest pas le vrai n est pas le beau jai rĂȘvĂ© qu on pouvait s aimer a quoi bon . RĂȘver english dreaming is a 1995 song recorded by french singer-songwriter mylĂšne. The phrase jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer javais rĂȘvĂ© du mot aimer. Paroles mylĂšne farmer - musique laurent boutonnat Ă©ditions requiem publishing. Jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer. Davoir mis son Ăąme dans tes mains tu las froissĂ© comme un chagrin et davoir condamnĂ© vos diffĂ©rences nous ne marcherons plus ensemble sa vie ne bat plus que dune aile dansent les flammes, les bras se lĂšvent lĂ  oĂč il va il fait un froid mortel si lhomme ne change de ciel pourtant, jai rĂȘvĂ© jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer au souffle du vent. Je suis de nimporte oĂč tu me demandes oĂč je vais. Je pouvais dormir et peut-ĂȘtre. Depuis ma plus tendre enfance, je nai jamais aimĂ© jouer Ă  la poupĂ©e. La chanson maman a tort, qui sinspire de lhistoire de lactrice . Paroles et musique de simon colliez l semaine passĂ©e j ai gagnĂ© au loto. Jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer au souffle du vent sĂ©levait lĂąme, lhumanitĂ© son manteau de sang jirai cracher sur vos tombeaux. Jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer au souffle du vent sĂ©levait lĂąme, lhumanitĂ© son manteau de sang jirai cracher sur vos tombeaux nest pas le vrai, nest pas le beau jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer. Jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer javois rĂȘvĂ© du mot aimer. 2 assemblage 23 disappoint negative format. Dansent les flammes, les bras se lĂšvent lĂ  oĂč il va il fait un froid mortel si lhomme ne change de ciel pourtant, jai rĂȘvĂ© jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer. Pourtant, jai rĂȘvĂ© jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer au souffle du vent sĂ©levait lĂąme, lhumanitĂ© son manteau de sang jirai crachĂ© sur vos tombeaux nest pas de vrai, nest pas le beau jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer Ă  quoi bon abattre des murs pour y dresser des sĂ©pultures Ă  force dignorer la tolĂ©rance nous ne marcherons plus. Lyrics to song jai rĂ©vĂ© quon pouvait saimer by mylĂ©ne farmer davoir mis son Ăąme dans tes mains tu las froissĂ© comme un chagrin et davoir condamnĂ© . Jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer que lhumanitĂ© entiĂšre arrĂȘtait toute guerre et tout flĂ©au pour sembrasser. Si lhomme ne change de ciel pourtant, jai rĂȘvĂ©. Jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer. Paroles de la chanson on pourrait par sarah. Rencontres Des Grosses Matures Sur Troyes. . Route Jacques Vabre Femme Cougar Disponible A Dijon Je vois le temps qui me dĂ©passe, toutes ces annĂ©es dĂ©filer, aujourdhui, je ne me sens plus trop Ă  ma place, je sais que ça doit changer, mĂȘme si jy crois, je ne sais pas, si dans le pire, tu me suivras. Jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer, javais rĂȘvĂ© le mot aimer mais apparemment notre monde nest fait que de violence et de sang! Comment trouver encore une place quand face Ă  des actes si stupides, gratuits et incomprĂ©hensibles. Letra e msica de rĂȘver de mylĂšne farmer - jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer au souffle du vent sĂ©levait lĂąme, lhumanitĂ© son manteau de sang. On a toutes, un jour ou lautre, cru quil Ă©tait la bonne personne, cru que cĂ©tait notre prĂ©sent et notre futur. On avait dans la gorge comme un goĂ»t dĂ©ternitĂ©. Si lhomme ne change de ciel pourtant, jai rĂȘvĂ©. Jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer. Jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer. Jirai cracher sur vos tombeaux. Jai rĂȘvĂ© de taimer dans la calme prairie jai rĂȘvĂ© de taimer parmi des fleurs Ă©tranges des fleurs dont le subtil parfum nous rendrait fous, des fleurs aux tons lĂ©gers diffus, troublants et doux, comme en ont les vitraux oĂč sont peints des archanges oĂč sont peints des archanges jai rĂȘvĂ© de taimer parmi des fleurs. Cette attention exclusive saccompagne dune recherche de fusion, je voudrais. La passion amoureuse aime Ă  se prĂ©senter comme une rencontre magique et . Jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer au souffle du vent sĂ©levait lĂąme, lhumanitĂ© son manteau de sang jirai cracher sur vos tombeaux nest pas le vrai, nest pas le beau jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer Ă  quoi bon abattre des murs pour y dresser des sĂ©pultures Ă  force dignorer la tolĂ©rance nous ne marcherons plus ensemble. Je nai pas vraiment souvenir que la formule Ă©tait couramment employĂ©e. Aujourdhui, il me semble quun trou sĂ©tait formĂ© dans la mĂ©moire du village. Jai 60 ans et ce nest jamais le moment de se sĂ©parer de ceux quon aime. Il ne pouvait presque plus parler et sĂ©nervait quand ma famille et moi ne . Marchons vers une vie meilleure. Quil nĂ©tait pas trop tard, quon pouvait tout changer. Sil Ă©tait temps de nplus jamais se taire, de retrouver tout ce que lon perd. Que le regard de ceux que jaime. Que pour aimer dun impossible amour. Que pour rĂȘver quil rime avec toujours. Jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer. Comment Mettre Un Code Promo Sur Wyylde. Jirai cracher sur vos tombeaux. Ciel pourtant, jai rĂȘvĂ© jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer au souffle du vent sĂ©levait lĂąme, lhumanitĂ© son manteau de sang jirai cracher sur vos tombeaux. Et pour moi la rupture lorsquelle est subie sapparente souvent Ă  une noyade. Je ne laime pas forcĂ©ment beaucoup, mais jai limpression quelle va . Arf comment je ne pourrais pas crĂ©er un article sur licĂŽne gay! Je vais la voir en concert le 5 septembre jour de mes 18 ans youhou, juste hĂąte dy ĂȘtre! Autant des fois elle fait des chansons qui ne me plaise guĂšre autant celle lĂ  je la trouve vraiment magnifique alors qui aime mylĂšne se doit de lĂ©couter. Paroles du titre rĂȘver - mylene farmer avec paroles. Net - retrouvez Ă©galement les paroles des chansons les plus. Jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer. Jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer. Jirai cracher sur vos tombeaux. Jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer a quoi bon abattre des murs pour y dresser des sĂ©pultures a force dignorer la tolĂ©rance nous ne marcherons plus ensemble les anges sont las de nous veiller nous laissent comme un monde avortĂ© suspendu pour lĂ©ternitĂ© le monde comme une pendule qui sest arrĂȘtĂ©e jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer au. Certaines personnes sont plus importantes que dautres dans la rĂ©ussite de la vie dune adolescente, & sans elle je ny arriverais pas. Parler de tout et de rien en passant des amo. Jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer. RĂȘver davoir mis son Ăąme dans tes mains. Tu las froissĂ©e comme un chagrin. Si lhomme ne change de ciel pourtant, jai rĂȘvĂ© jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer au souffle du vent sĂ©levait lĂąme, lhumanitĂ© son manteau de sang. LĂ  oĂč il va il fait un froid mortel. Si lhomme ne change de ciel pourtant, jai rĂȘvĂ©. Jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer. Jirai cracher sur vos tombeaux. Nest pas le vrai, nest pas le beau. Jai rĂȘvĂ© quon pouvait saimer. 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Le Deal du moment -33% Jumbee Roundnet – Jeu de plein air Ă  ... Voir le deal € Heaven Weakness [[. A D M I N I S T R A T I O N. [[. AuteurMessageSoulPatate pas cuite adorĂ©e x3Sujet L'histoire pouvait alors continuer ... [HELLCHILD !] Jeu 28 Mai - 1645 J'avais longuement rĂ©flĂ©chi. Mais pourtant il ne fallait pas autant de temps, je savais dĂ©jĂ  que cela ne se rĂ©flĂ©chissait pas. Aquarelle Ă©tait la dominante des Hellchilds. Cela ne se discutait pas. Mais je cherchais une question. Je cherchais Ă  savoir quelque chose ... mais quoi. Surement qu'est-ce que cela changerait Ă  ma vie. Je savais d'hors et dĂ©jĂ  que l'amour entrait dans ma vie. Que je devais dĂ©livrer du temps Ă  ma dominante. Que j'avais Ă  ce moment une raison de vivre. C'est-Ă -dire que je pouvais me voir pousser des ailes - rouges. Je pouvais dĂ©passer le mur du son, tuer tout le monde, dĂ©placer des montagnes, dĂ©crocher la lune, l'aimer. Car quand on aimait, on pouvait tout faire. Mais la laisserais-je aller Ă  une guerre ? La laisserais-je aloors seule un instant ? La surprotĂ©gerais-je ? Et si tout cela changeait ma vie ? Que je ne pouvais plus me passer d'elle ? RĂ©ctification, je ne pouvais me passer d'elle. Je m'arrĂȘtais dans une marche qui Ă©tait depuis des heures. J'inspirais profondĂ©ment. Le rocher Ă©tait devant moi. Un rocher Ă  la sortie de la grotte, juste assez prĂšs de la sortie pour surplomber mon territoire, juste assez loin pour ĂȘtre dans une pĂ©nombre agrĂ©able. Mon attitude songeuse avait trahi ce que je prĂ©parais. Elle savait que j'allais la prĂ©senter et elle en avait peur. Peur de quoi ? Qu'elle ne plaise pas ? Qu'elle ne soit pas a la hauteur ? Si c'Ă©tait ca, je tuerait ceux qui seraient contre et je lui dirait qu'elle serait Ă  la hauteur. Car elle l'Ă©tait, oh oui. Oui elle l'Ă©tait de m'avoir changĂ©. Quel dĂ©fi avait-elle surmontĂ©e. Je n'en revenais toujours pas. Je lui avais laissĂ©e un peu de temps pour qu'elle se prĂ©pare mentalement - et moi aussi. A prĂ©sent, il Ă©tait l'heure. L'heure oĂč le soleil se couchait pour laisser place Ă  une pĂ©nombre plaisante, une athmosphĂšre stridante, une annonce imminente. je montais sur ce rocher en la grotte de mon territoire. Je m'asseyais et tendant le coup, je lancais un long hurlement. Un hurlement d'appel. A eux, a Elle. AquarelleVotre tomate d'AdminSujet Re L'histoire pouvait alors continuer ... [HELLCHILD !] Ven 29 Mai - 1405 » Je suis lĂ , grand noiraud. Ici & lĂ -bas, et pourtant tout prĂšs de toi. Je suis lĂ ... Ton hurlement rĂ©sonne au fond de en marchant, la tĂȘte haute et le regard diffĂ©rent, je te regarde. Toujours plus dĂ©terminĂ©, toujours plus forte; rien qu'en te regardant tout bascule, tout s'amplifie. Mon regard brillait de milles Ă©clats. Sentiment joyeux, sentiment triste, sentiment de determination, sentiment de force, sentiment d'amour et mĂȘme un sentiment de solitude. Solitude en ses questions inutiles. Depuis ce jour, notre jour, je m'Ă©tais Ă©loignĂ© de la meute pour y rĂ©flĂ©chir. Aujourd'hui je me sentais prĂȘte, je pensais que j'en Ă©tĂ© finalement capable. Mais deux questions subsistais toujours sans rĂ©ponses dans ma tĂȘte... Mais assez pour aujourd'hui des suis lĂ , juste lĂ . Je suis assise, en face de toi, derriĂšre ce buisson qui te cache a ma vue. Je te regarde avec ses yeux qui te sont reservĂ©s et je sors doucement, en marchant, de ce buisson. A quelques pas de toi, je m'arrĂȘte, sans avoir quittĂ© ton regard. Te faire passer le message par le biais d'un regard.* Je suis prĂȘte, mon amour. Je peux y arriver, nest-ce pas ? Je t'aime... *Je reprend ma marche, supprimant la distance qui me sĂ©pare de toi. Je te frole et je me place a cĂŽtĂ© de toi. Oui, je peux y arriver et je clou le bec au premier qui fait tu es lĂ ... SoulPatate pas cuite adorĂ©e x3Sujet Re L'histoire pouvait alors continuer ... [HELLCHILD !] Ven 29 Mai - 1851 Dans mes terres, mon hurlement rĂ©sonnait, je l'entendais. C'Ă©tait un hurlement digne d'un demi-dieu, digne d'un dominant. Je levais ma tĂȘte, l'air soulevait mes poils. Le vent filait entre mes oreilles, une sensation de dignitĂ© m'envahit, fiĂšr de ce que j'Ă©tais. Mais ma fiertĂ© se vut grandie quand je la vis. Elle, sortant d'une boisson, rayonnante. Elle reflĂ©tait bien plus que le soleil, elle reprĂ©santait bien plus qu'une dĂ©esse, elle dĂ©passait tout en tout les domaines. C'Ă©tait bien elle qui se prĂ©parait Ă  ĂȘtre une dominante. Les Hellchild trouvaient alors la personne qu'il leur manquait. Comme une chose bien Ă©vidente en ce moment, je souriais. Un sourire qu'aucune personne n'aurait pu produire. Je la comtemplais tendis qu'elle montait Ă  mes cĂŽtĂ©s. Confiante, sur d'elle, elle Ă©tait si ... Ca devenait Ă  cette seconde une Ă©vidence qu'elle se put trouver Ă  mon cĂŽtĂ©. Comme si elle me fut destinĂ©. Je sentis qu'elle se glissait Ă  cĂŽtĂ© de moi. Je la regardais, les Hellchild commencaient Ă  affluer. Qu'il vienne, par centaine, s'il le faut, il le faut. Je collais ma tĂȘte Ă  la sienne, la mettant en confiance. J'attendais qu'ils viennent, qu'ils viennent. Et je la rassurais d'un regard protecteur car Ă  ce moment-lĂ , il me parut impossible qu'une erreur arrivat, sauf de ma part. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re L'histoire pouvait alors continuer ... [HELLCHILD !] Ven 29 Mai - 1902 P rĂšs d'un lac, j'observais mon reflet. Cela faisait bien des heures que j'Ă©tais lĂ  Ă  me regarder. Pourquoi? Je ne sais pas, je pensais Ă  lui, Ă  moi. Il me manquait dĂ©jĂ , j'avais l'impression que je ne le reverrais plus. C'est une impression bizarre, qui rend mes journĂ©es plus triste. La preuve, j'Ă©tais lĂ , depuis de longues heures, Ă  me regarder dans l'eau. Je voulais repartir, dĂ©tacher mon regard de cette silhouette blanche. Mais je n'y arrivais pas, je restais lĂ , je continuais de me regarder, l'esprit ailleurs. Pourquoi penser Ă  lui? Je pouvais penser Ă  pleins d'autre chose, mon fils, le pĂšre de mon fils, mon pĂšre, ma mĂšre, mes sƓurs et frĂšres et bien d'autre chose. Mais je ne pouvais pas retirer mes pensĂ©es qui Ă©taient pour lui. Je pensais toujours, mais je retrouvais une partie de moi. J'observais pour de vrai mon reflet. Chaque dĂ©tail de mon pelage, de mon physique. Je me trouvais moche, horriblement laide. Pourquoi alors essayais-je de charmer certains? Si j'Ă©tais si laide je ne voyais plus l'intĂ©rĂȘt. Je voulais repartir. Je voulais retourner lĂ  oĂč je l'avais rencontrĂ©, lui, et personne d'autre. Je le lis Ă  courir, vers ce lieu. Je voulais y retourner, voir dĂ©filer devant mes yeux cette rencontre. Je courais toujours tout droit quand d'un seul coup je fis demi-tour et me dirigea vers la grotte. Un hurlement avait retentit, fort, Hellchild. Ce ne pouvait ĂȘtre que le hurlement du dominant, Soul Eater. Je traversa une forĂȘt, frĂŽlant les arbres, les Ă©vitant avec souplesse. J'arrivais Ă  la lisiĂšre du bois. Des Hellchild commençaient Ă  arriver. De ce cĂŽtĂ© j'Ă©tais la seule. Je m'arrĂȘta, et continua ma route en marchant, une dĂ©marche souple, silencieuse, ma dĂ©marche. Je m'arrĂȘta, me calant entre deux loup, je regardais le dominant, la louve blanche Ă  ses cĂŽtĂ©s. Un sourire Ă©tira mes lĂšvres, Aquarelle, ancienne chefs des bloods, nouvelle dominante. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re L'histoire pouvait alors continuer ... [HELLCHILD !] Ven 29 Mai - 1950 J' Ă©tais loin, mais je l'entendis. Fort, puissant, Hellchild, Soul Eater. Ce hurlement avait vibrĂ© en moins tel un tambour de guerre. Il m'appelait, il nous appelait. J'y rĂ©pondrais, je viendrais Ă  lui. J'Ă©tais debout, au milieu d'une immense plaine. Je savourais la caresse du vent contre mon corps. quand ce hurlement avait dĂ©chirĂ© le silence qui planait autour de moi, mes yeux s'Ă©taient rouvert. J'Ă©tais seul, je devais agir seul, et dĂ©cider seul. Ce que je fais depuis ma sĂ©paration avec ma mĂšre. SĂ©paration qui c'est bien passĂ©. Le hurlement s'Ă©teignit, et moi je bondissais dĂ©jĂ  en avant. J'allais vite, trĂšs vite. Mes muscles roulaient sous mon pelage Ă  une allure hallucinante. Je courais avec puissance et souplesse. Puissance et souplesse. Un troisiĂšme mot se rajoutait Ă  ceux-lĂ , Silence. Je ne faisait aucun bruit. Tel une ombre je traversais maintenant une forĂȘt. Je slalomais entre les arbres avec souplesse. Mon corps ce arquant avec une souplesse impressionnante. Les arbres dĂ©filaient Ă  vive allure et je ne les voyait presque pas. J'Ă©tais une ombre dans cette forĂȘt, allant vite avec silence, je ne pouvais ĂȘtre qu'une ombre, pourtant j'Ă©tais un loup, j'Ă©tais moi, Nightmare. J'arrivais bientĂŽt Ă  destination, une odeur vint me chatouiller le museau. Je m'arrĂȘta, et regarda la silhouette blanche qui vint se placer entre deux loups. Je la connaissais, plus que bien. Mon attention fut attirĂ©e par la louve blanche Ă  cĂŽtĂ© de Soul, je l'avais dĂ©jĂ  vu, le jour oĂč je traquais cette outlaw. Je sortis de la forĂȘt telle une ombre, silence et souplesse. J'Ă©tais lĂ©gĂšrement Ă  l'Ă©cart, seul, assis. Je regardais tout le monde, posant mes yeux rouges sur eux et les dĂ©visageant. Je n'Ă©vita pas le regard de Miracle et continua de regarder les autres. Quand je re croisa le regard de Miracle, je ne souris pas, je ne montra aucune Ă©motions, je passa Ă  la louve blanche et Ă  Soul. J'Ă©tais calme, je n'Ă©tait pas expressif. LightSujet Re L'histoire pouvait alors continuer ... [HELLCHILD !] Ven 29 Mai - 2212 Me voila de nouveaux a mon point de dĂ©part, un long soupir m’échappa, voila trois ans qu’il Ă©tait partis, pour enfin revenir. Je me nomme Light, le dĂ©mon des enfers revenu sur terre, une question m’effleura l’esprit qui dominer des c’est terre Ă  prĂ©sent. Coucher sous un arbre, je contempler le cadavre d’un faon, devant moi il gisait, la bouche ouverte, sourire satisfait sur mes lĂšvres je bondis sur mes pattes. Mon pelage resplendissait, au soleil, mon nez rempli de sang, sur mes pattes le sang, remontĂ© vers mes Ă©paules, comme des flammes. Un cri ce fit entendre, je dĂ©cider de l’ignorer, quand un second rentit. C’était l’appel de l’alpha, j’étais obligĂ© dit aller, trottinent, lentement, je me diriger vers la source de l’appel. Puis l’instinct devint plus fort, je dus partir plus vite, la tĂȘte basse, je courais entre les troncs. Pas un bruit, ne trahissait ma prĂ©sence, enfin je les vu. Tout un groupe arrĂȘter en cercle, je vins m’asseoir, lĂ©gĂšrement a l’écart des autres, ne collent personne, a ma gauche ce trouver un loup noir aux yeux rouge. Mon attitude ne trahissait en rien que j’étais un tueur sens scrupules, mais celui qui savait regarder le verrait dans mes yeux. Mes yeux, rouges, regarder un a un les loups, sens difficultĂ© je distingua le dominant. Être dominer aller ĂȘtre une premiĂšre pour moi, j’avais vagabondĂ©, longtemps, trop longtemps, il Ă©tait temps que je me pose quelque, part. Il Ă©tait temps que j’ai une raison de vivre, une meute a aider, des ennemis a tuer. DreamerzSujet Re L'histoire pouvait alors continuer ... [HELLCHILD !] Dim 31 Mai - 1124 J'Ă©tais tranquillement en train de dormir. Un appel retenti Ă  mes oreilles, l'appel de Soul Eater! Enfin, un peu d'action, je dĂ©pĂ©rissais moi . Je m'Ă©lança en direction de la grotte, slalomant entre les arbres, aussi vite que je le quelques minutes de course j'arrivais a l'orĂ© de la grotte, devant de nombreux loups Ă©taient dĂ©jas rassemblĂ©s. Je fis l'inventaire rapide des membres que je connaissait, soi pas grand monde! Je reconnu Miracle, chef des bloods. Je continua mon trour pour m'arreter sur l'un d'entre eux, mon coeur rata un battement, Nightmare!Lle grand loup noir Ă©tait lĂ , devant moi. Je m'avança, vis enfin Soul' sur un promontoire rocheux accompagnĂ© d'une louve blanche, Aquarelle, je le savait a cause de mon entrainement mais je connaissais simplement son nom et aussi qu'elle Ă©tait ancienement chef des bloods. Que nous voulait -il? Je l'ignorais mais j'Ă©tais impassiente de le savoir. En attendant je posa mon regard sur des pattes noires, ma queue remuant doucement..._________________J'ai quitĂ© les terres de l'Enfer pour fouler les terres de DĂ€mon...>> Recueil SoulPatate pas cuite adorĂ©e x3Sujet Re L'histoire pouvait alors continuer ... [HELLCHILD !] Dim 31 Mai - 1140 [ On essaie de garder cette ordre, environ, ok ? ]Enfin Ă©tait le moment. Les Hellchild arrivaient. Mon troupeau, ma meute, mes fidĂšles serviteurs. Un sourire s'installait sur mes lĂšvres au nom du pouvoir. Mes yeux, incomprĂ©hensible d'une Ă©motion qui ne pouvait ĂȘtre Ă©mise que par moi, semblait ĂȘtre les seul Ă  avoir cette couleur si ocre, si foncĂ©. Je posais mes yeux sur chacuns d'entre eux - pas plus de quelques secondes - me confirmant qu'a peu prĂšs tout le monde Ă©tait lĂ . D'autres arrivaient pour enfin complĂ©ter la troupe. Les Hellchild, tous autant qu'ils Ă©taient, imposait une ambiance des plus respectueuse et cela me plut. Certain semblaient avoir compris ce que je prĂ©parais. Un frisson s'emparait bizzarement de moi quand je sentis que le vent m'effleurait. Etait-ce un signe du destin ? Le signe que c'Ă©tait Ă  moi. Surement. Mais le destin n'en choisirait pas le moment. C'Ă©tait moi qui choisirait ma destinĂ©e, je choisirais ce qui Ă©tait le mieux pour moi. Pour elle. Pour eux. Sentant que c'Ă©tait soudain le moment, je me levais, sursautais. Je pris une grande inspiration. Il Ă©tait temps. Je me mis sur un rocher plus haut. Un bout de roche dĂ©talait sur le sol quand j'attĂ©ris d'un bond sur celui-ci. Mais agile, je me redressais, la tĂȘte haute vers le peuple. Je regardais Aquarelle et la regardais, souriant en coin. Lancant un brusque grognement vers la meute, je les appelais Ă  l'Ă©coute. Puis ce fut l'instant fatidique. Il fallait que je le fasses maintenant. Ou jamais. Je dĂ©clamais de ma voix rauque, sombre, d'alpha. D'une voix qu'on n'entendait que rarement. Mes chers amis ! »Je les regardais tous, puis reprit. L'histoire ce soir se voit bouleversĂ©e. Jamais personne n'aurait vu ca, et pourtant, c'est arrivĂ©. Les Hellchild manquaient de quelque chose. Ou plutĂŽt ... de quelqu'un. Jamais n'as compris qu'il manquait une personne. Inutile de chercher en cette heure. J'ai trouvĂ©. »Je me retournais vers Aquarelle. Mon regard Ă©tait celui de l'Alpha et pourtant s'y dĂ©versait une grande tendresse qu'aucun ne voyait, sauf elle. Elle s'Ă©vacuait aussitĂŽt quand je me vis retourner Ă  mon discours. Je m'interdisais, bien que cela en fut bizarre, que je montrĂąt mes sentiment en public. Cela Ă©tait trop beau, irrĂ©el pour qu'ils le voient. Je lui rĂ©servais cela. L'entrainant avec moi sur le plus grand rocher, je repris la parole. A prĂ©sent, je vous avertis. Que si un jour cela vous prendrait. Que vous la toucheriez, l'importunerez, la blesserez. Si un jour, une seule seconde, vous l'approchiez de trop prĂšs, l'insulteriez. Et bien ... Vous aurez Ă  faire Ă  la colĂšre d'un demi-dieu. Dominant des Hellchild, venant d'un monde appelĂ© enfer. Moi. »Ces quelques phrases avaient Ă©tĂ© proclamĂ©s sur un ton des plus agressif, tel une grande menace. Quiconque oserait troubler, percer cette menace n'en sortirait vivant. Ma colĂšre n'Ă©tait pas une chose a prendre Ă  la lĂ©gĂšre, et ils le savaient. Mais Ă  prĂ©sent, je me dĂ©tendais. Je la regardais, souriait en coin et derechef proclamait. Je vous prĂ©sente la nouvelle dominante des Hellchild. Aquarelle. »Je la regardais avec le plus de respect possible. Je m'autorisais mĂȘme quelque secondes de tendresse en collant ma tĂȘte contre la sienne. Puis je me dĂ©collais. Je les regardais et mon regard qui Ă©tait devenu quelque seconde dorĂ© redevint rouge des plus foncĂ©. Je vous demande de lui faire dĂšs Ă  prĂ©sent honneur et respect. » AquarelleVotre tomate d'AdminSujet Re L'histoire pouvait alors continuer ... [HELLCHILD !] Dim 7 Juin - 2234 » Aux cĂŽtĂ©s de Soul, les murmures et les crocs de certains ne me faisaient guĂšrre broncher. Enfin, mon loup parla de sa voix grave que j'aimais tant. Je le regardais longuement, heureuse et sĂ»re qu'il Ă©tait le bon, celui avec qui je partagerais tout et rien, parce qu'il Ă©tait ma vie. Quand il tourna sa tĂȘte vers moi, je levai les oreilles et profita de ce geste de tendresse. Maintenant, c'Ă©tait mon tour, tout se jouerait dans les mots qui suivraient, car je savais qu'il fallait bien plus qu'une gueule d'ange calme pour ĂȘtre respectĂ©e des loups de la meute. Me levant, j'avançai de quelques pas au milieu des loups. D'une voix calme, profonde et plus aigue que celle du dominant, je parlais aux Hellchild, Ă  ma meute. D'abord et avant tout je souhaiterais me prĂ©senter. Certains me connaissent, d'autres non. Mais pour les autres, je me nomme Aquarelle. Je n'ai pas la prĂ©tention de dire qu'avec moi comme dominante, le monde changera pour la meute. NĂ©anmoins, je pense essayer d'amĂ©liorer certaines choses. Tout d'abord cette guerre, il serai temps pour certains Chef de grades de se bouger et de lancer des entrainement ! Ensuite, je dirais juste une chose... Ne le gĂąchons pas, tout ce travail que Satan a fait pour faire de cette meute une meute redoutable et puissante. On est Hellchild ou on ne les pas... »Regardant longuement la meute de mes yeux rouges, je m'assis non loin du dominant, sans pour autant le coller. Soul reprendrais sans doute la parole, je l'Ă©couterais calmement, mes oreilles pointĂ©es vers lui. Mais je ne m'attardais pas plus sur la meute. J'attendais alors les rĂ©actions de la meute. Bonne ou mauvaise, aprĂšs tout c'Ă©tair leurs vies, leurs opinions... InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re L'histoire pouvait alors continuer ... [HELLCHILD !] Lun 8 Juin - 1925 J'avais, comme la plupart de mes congĂ©nĂšres, entendu ce hurlement que tout le monde connaissait. Celui de Soul Eater. C'Ă©tait le signe de raliement Ă  La Grotte des Hellchild. Abandonnant Ă  contre coeur la piste du liĂšvre que je traquais depuis une bonne heure, je fit demi-tour et j'entammais alors le chemin qui menait aux Terres DĂ€mon. Courant de plus en plus vite, l'appel de mon chef se faisait sentir au plus profond de mon ĂȘtre. Slalomant entre les arbres & les buissons, courant Ă  travers champs, bondissant par dessus les cours d'eau, la vitesse m'ennivrais tel une drogue se rĂ©pendant dans mes veines. Quelques minute plus tard j'arrivais Ă  ma destination finale La Grotte AbandonnĂ©e. Sur l'un des rochers qui devancait l'entrĂ©e de la caverne, Soul se tenait lĂ , immobile. J'arrivais juste au moment oĂč il prĂ©sentait Ă  tous Aquarelle la dominante des Hell'. Rejoignant les autres loups, je m'assis, enroulant la queue autour de mes pattes. Je me demandais pourquoi Soule Eater nous avait rassemblĂ©. Ce n'Ă©tait surement pas exclusivement pour nous prĂ©senter Aquarelle. Bien que j'avais ma petite idĂ©e sur la suite de l'assemblĂ©e, j'attendit patiemment que la nouvelle dominante finisse de parler - D'abord et avant tout je souhaiterais me prĂ©senter. Certains me connaissent, d'autres non. Mais pour les autres, je me nomme Aquarelle. Je n'ai pas la prĂ©tention de dire qu'avec moi comme dominante, le monde changera pour la meute. NĂ©anmoins, je pense essayer d'amĂ©liorer certaines choses. Tout d'abord cette guerre, il serai temps pour certains Chef de grades de se bouger et de lancer des entrainement ! Ensuite, je dirais juste une chose... Ne le gĂąchons pas, tout ce travail que Satan a fait pour faire de cette meute une meute redoutable et puissante. On est Hellchild ou on ne les pas... »- pour que Soul nous annonce la suite du programme... J'approuvais d'un grognement les paroles d'Aquarelle. Il Ă©tait vrai que Hellchild Ă©tait plutĂŽt quelque chose que l'on Ă©tait est non pas quelque chose que l'on devenait. Pour ma part, j'Ă©tais nĂ© comme cela. Pour les autres, je n'en savais rien mais peut m'importais en fin de compte. AquarelleVotre tomate d'AdminSujet Re L'histoire pouvait alors continuer ... [HELLCHILD !] Dim 14 Juin - 1607 » Le tropic a trop traĂźner et je sais que j'en ai aussi ma part de rĂ©sponsabilitĂ© n'aillant pas eu le temps avec mon stage. Je m'en excuse, et j'annonce donc que je verrouille le tropic ! On enchaine donc sur la guerre ! Contenu sponsorisĂ©Sujet Re L'histoire pouvait alors continuer ... [HELLCHILD !] L'histoire pouvait alors continuer ... [HELLCHILD !] Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumHeaven Weakness [[. A D M I N I S T R A T I O N. [[. Corbeille.

Jet'ai volĂ© ce sang qu'on aurait pas dĂ» partager À bout de mots, de rĂȘves je vais crier Je t'aime, je t'aime Comme un fou comme un soldat Comme une star de cinĂ©ma Je t'aime, je t'aime Comme un loup, comme un roi Comme un homme que je ne suis pas Tu vois, je t'aime comme ça D'accord, je t'ai confiĂ© tous mes sourires, tous mes secrets
Les poĂšmes d’amour sont l’expression la plus noble des sensations d’amour et il ne faut pas ĂȘtre un grand poĂšte pour Ă©crire un poĂšme pour la femme ou l’homme que vous aimez. Alors, n’hĂ©sitez pas Ă  Ă©crire vos poĂšmes d’amour et les partagez avec nous. Voici pour vous ces cinq beaux poĂšmes d’amour
 PoĂšme d’amour 01 Pourquoi je t’aime Pourquoi je t’aime
 Je creuse dans mon cƓur cherchĂ© la rĂ©ponse Dans le plus profond de mon Ăąme je trouverai ; J’irai jusqu’au fin fond de la terre. Pourquoi je t’aime
 La rĂ©ponse est juste devant moi Dans la lumiĂšre de ton sourire Dans le charme de ton regard Dans la douceur de tes caresses La rĂ©ponse est juste devant moi. Pourquoi je t’aime
 Je sais maintenant pourquoi je t’aime Mon cƓur bat plus vite quand je te vois Je me sens sur un nuage quand je prends ta main Je me sens marcher sur un arc-en-ciel. Pourquoi je t’aime
 Ce n’est pas seulement pour ces raisons-lĂ  Il y a d’autres que je ne te raconte pas Le plus important c’est que je t’aime C’est toi mon amour que j’ai choisi Et que tu m’as dit oui Pour toujours
 PoĂšme d’amour 02 Mon amour, Tu es entrĂ© dans ma vie Comment une lĂ©gĂšre brise d’air, Je me suis attachĂ© rapidement Ă  toi, Et aussi vite je t’ai aimĂ©, À tes baisers j’ai succombĂ©, Sans toi, je ne me vois pas, Quand tu es loin de moi, Je ressens un manque en moi, De toi j’en ai toujours rĂȘvĂ©. Je veux seulement ĂȘtre avec toi, Me jeter et reposer dans tes bras, Partout j’irai avec toi, Peu importe ta destination, Je vis dans ton sourire, Je meurs si tu es triste, Que rien ne nous sĂ©pare, Toi et moi pour toujours, Je t’aime mon amour. PoĂšme d’amour 03 PoĂšme d amour 04 Mon cƓur, je t’adore Il n’y a pas une seconde qui passe Sans que je ne pense Ă  toi Mais je prĂ©fĂšre les moments OĂč tu es dans mes bras Ce moment de bonheur Je te l’ai rĂ©servĂ© Le meilleur des moments Ou tu occupes tout mon univers Tu me racontes ton amour Que tu m’aimes de tout ton cƓur Que tu veux ĂȘtre avec moi pour toujours Et surtout que tu veux notre bonheur Alors chaque fois que je te regard Mon cƓur s’emballe, et bat plus vite Mes pensĂ©es font dĂ©filer ton visage Et mon Ăąme s’illumine de bonheur Et chaque jour qui passe Mon amour pour toi grandi encore Je t’aime et je t’aimerai encore plus Mon cƓur, je t’adore. PoĂšme d’amour 05 Je t’avoue mon amour Jamais je n’aurais cru que c’était possible; Que cela puisse m’arriver un jour; De ressentir cette sensation qui m’attire; Ce que les gens appelaient amour. J’aimerais t’avouer mon amour; Pour ne pas me perdre dans les rĂȘves; Cet amour que je porte dans mon cƓur; Comment pourrai-je te le faire ressentir. Est-ce que je peux enfin te le dire, Tout l’amour que je porte dans mon cƓur, Que je ne peux pas le garder pour moi seul, Et voir le manque planer sur mon cƓur. Je sais que c’est maintenant l’occasion, Pour te le dire et partager avec toi, Cette sensation qui m’attire et m’aspire, Mais est-ce que j’ai le courage de te le dire? Ce n’est pas toujours facile, Avouer ses sentiments d’amour, Mais pour moi le plus difficile, C’est de ne pas te dire je t’aime. Je t’aime.
jai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer. j'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer au souffle du vent s'Ă©levait l'Ăąme, l'humanitĂ© son manteau de sang j'irai cracher sur vos tombeaux n'est pas le vrai,
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Une chanson brisĂ©e 0311 lyrics buy track Ta tĂȘte posĂ©e sur mon cƓur Tu levais les yeux vers moi Et tout haut tu as soulevĂ© une question un Ă  un dĂ©bat Tu Ă©lĂšves tes aveux puis tout haut plein d’émoi Tu supposes que je devrais Ă©crire une chanson sur toi Puis j’ai pris un moment pour bien me remĂ©morer Les fois oĂč tu m’avais plutĂŽt abandonnĂ©e Pour des rencontres sociales, fumer des pĂ©tards de combat Des rendez-vous importants auxquels tu ne te pointais pas Mais qu’importe tu m’aimes oui Ça justifie tous tes oublis Mais qu’importe le temps joue Une chanson sur mes plaies qui s’entrouvrent Tu sais que j’en ai plus qu’assez T’es con en plus t’as pas compris Que j’allais plutĂŽt te laisser Tu ne mĂ©rites qu’une chanson brisĂ©e, dĂ©solĂ©e J’ai longtemps pensĂ© aux Ă©tapes Ă  franchir Pour assurer aux autres qu’on avait tout un avenir Mes amis s’inquiĂ©taient de nous voir revenir ensemble Car ils savaient que ton ex t’attendait dans sa chambre Mais qu’importe tu m’aimes oui Ça justifie tous tes oublis Mais qu’importe le temps joue Une chanson sur mes plaies qui s’entrouvrent Tu sais que j’en ai plus qu’assez T’es con en plus t’as pas compris Que j’allais plutĂŽt te laisser Tu ne mĂ©rites qu’une chanson brisĂ©e, dĂ©solĂ©e 2. On s'aimera toujours 0328 lyrics buy track Sous les lueurs de novembre J’espĂ©rais reprendre un peu mon souffle Mais le mal comptait ses proies Je l’imagine encore Ă  mes trousses Tu es entrĂ© dans la danse J’ai Ă©clipsĂ© ce qu’il me restait Les autres n’ont plus d’importance Tes dires deviennent ma destinĂ©e Mais tant qu’il n’y aura que nos souffles Qui pansent mes blessures Je veux ĂȘtre bien Ă  toi Et sous ces lumiĂšres Ă©carlates On s’aimera toujours, je crois Et je sens mon cƓur s’étendre Quand mes yeux se fondent au vert des tiens Si le passĂ© nous secoue tu sais C’est qu’on pense au lendemain Si on revit de nos cendres C’est parfait si l’on tremble Les dĂ©mons de nos saluts Se retrouvent ensemble une derniĂšre fois C’est comme si on se connaissait Et nos histoires reprennent leurs Ă©bats Qu’importe ce qu’on dit de nous On vit Ă  deux ce que l’on ne sait pas En images on dit adieu On vibre dans ce que l’on ne connaĂźt pas Mais tant qu’il n’y aura que nos souffles Qui pansent mes blessures Je veux ĂȘtre bien Ă  toi Et sous ces lumiĂšres Ă©carlates On s’aimera toujours, je crois Et je sens mon cƓur s’étendre Quand mes yeux se fondent au vert des tiens Si le passĂ© nous secoue tu sais C’est qu’on pense au lendemain Si on revit de nos cendres C’est parfait si l’on tremble 3. Une complainte dans le vent 0301 lyrics buy track Mon souffle coupe toutes les secondes avant de te revoir J’élĂšve la voix sans rĂ©pondre Mon cƓur bat sans dĂ©battre Mais qu’importe les fautes qu’on a commises, de peur de perdre nos remises À plus tard, nos vƓux, nos dĂ©sirs amoureux Mes lĂšvres tremblent Ă  penser, aux chaleurs oubliĂ©es À tes doigts longeant mes parures, tu m’aurais Ă  l’usure Mais qu’importe les douleurs du prĂ©sent Je ne suis plus la mĂȘme, tu n’es plus un enfant Alors qu’on s’attende toujours, serait-ce un accident Je longerai l’anse vers toi, pour tes soupirs Les rives d’un fjord m’attendent, j’en perds mes vivres Je ne comprends plus pourquoi on ne chantait plus Une complainte dans le vent Mon amour perdu Les Ă©toiles filaient vers le sud, j’ai suivi pour Ă©teindre Ce qui restait de l’amertume, du sel sur mes regrets Mais je sais que le temps passe sans nous, et quand il reste on devient plus que fous Peut-ĂȘtre qu’on devrait s’attendre Dans les mĂ©andres Je longerai l’anse vers toi, pour tes soupirs Les rives d’un fjord m’attendent, j’en perds mes vivres Je ne comprends plus pourquoi on ne chantait plus Une complainte dans le vent Mon amour perdu 4. Le Pacifique 0337 lyrics buy track J'ai touchĂ© le sable colombin Vieilli de larmes et d'air salin J'ai portĂ© le chandail d'automne Que tu m'as laissĂ© au moins d'octobre Qu'aurais-je pu faire pour te garder Au moins un matin m'Ă©veiller Sur les baies de ton Pacifique Le vent se lĂšve, tirant les rĂȘnes D'un amour qui ne respirait De nuits qui ne chantaient plus tes chansons Qui de loin de nous ont eu raison Mais moi je t'attendrai lĂ -bas Sur les rives, morte de froid Dans l’espoir que j’ai partagĂ© avec moi seule pour constater Que tu ne m'atteins pas et c'est comme tous ces pas Que le sable pourra effacer Du Pacifique, tant aimĂ© Embrasse les filles embrasse l'ouest Loin de mes cris, de ma dĂ©tresse Tu m'oubliais Ă  chaque seconde PassĂ©e dans les bras d'une colombe J'ai tant hurlĂ© pour attraper Un instant de sincĂ©ritĂ© Sur les baies de ton Pacifique. Le vent se lĂšve, tirant les rĂȘnes D'un amour qui ne respirait De nuits qui ne chantaient plus tes chansons Qui de loin de nous ont eu raison Mais moi je t'attendrai lĂ -bas Sur les rives, morte de froid Dans l’espoir que j’ai partagĂ© avec moi seule pour constater Que tu ne m'atteins pas et c'est comme tous ces pas Que le sable pourra effacer Du Pacifique, tant aimĂ© 5. Tu ne seras jamais lĂ  avec Alexandra StrĂ©liski 0307 lyrics buy track Les flots t’emmĂšnent tu vas cĂ©der Et je ne sais plus t’oublier Tu quittes, encore, cette fois Et les rĂȘves des annĂ©es Qui migrent encore dans mes pensĂ©es J’essaie de les effacer Mais quand le vent s’élĂšve je t’entends Tu existes au loin, ça fige le temps Et si tu prenais l’air comme avant Mais quand tu partiras au large Essaie de rester loin de moi Ton retour n’est plus qu’un mirage J’essaie de rester comme avant Quand tu n’étais pas lĂ , quand tu n’étais pas lĂ , et tu n’étais pas lĂ , tu ne seras jamais lĂ  Et puis les heures, elles s’envolaient Ă  des hauteurs qu’on effleurait De peur de se rencontrer S’il n’y a pas plus fort que nos liens Tu ne choisis plus ce qui nous tient Je laisserai mon coeur dĂ©cider Mais quand le vent s’élĂšve je t’entends Tu existes au loin, ça fige le temps Et si tu prenais l’air comme avant Mais quand tu partiras au large Essaie de rester loin de moi Ton retour n’est plus qu’un mirage J’essaie de rester comme avant Quand tu n’étais pas lĂ , quand tu n’étais pas lĂ , et tu n’étais pas lĂ , tu ne seras jamais lĂ  6. Dans l'obscuritĂ© 0408 lyrics buy track Je frĂŽle une presque folie de croire en un amour aussi libre Mais dans ses mains j'ai compris, que les lignes Ă  enfreindre elle les a franchies Et la douleur qu'elle porte Je saurais comment lui enlever Un casse-tĂȘte rempli de tristesse Que seule je pourrais sevrer Pourrais-je la voir sourire Dans un monde comme le mien Je ferais tomber les murs entre nous cette fois MalgrĂ© les interdits Traverser les eaux plus troubles qu'autrefois Affronter le passĂ©, qu’on s'impose dans l'obscuritĂ© S’embraser aussi vite c'Ă©tait croire en notre destinĂ©e Mais j'ai vu dans tes yeux que de s'emballer autant ferait paniquer Et la douleur qu'on porte C'est un fardeau qui laisse sa marque BrimĂ©es dans nos Ă©lans Pourrais-t-on ĂȘtre aussi braves Pourrais-je la voir sourire Dans un monde comme le mien Je ferais tomber les murs entre nous cette fois MalgrĂ© les interdits Traverser les eaux plus troubles qu'autrefois Affronter le passĂ©, qu’on s'impose dans l'obscuritĂ© 7. Tu peux crever lĂ -bas 0323 lyrics buy track J’ai retrouvĂ© le contrĂŽle de mon esprit J’ai dĂ©truit les images de nous, oĂč tu es dans mon lit J’ai dĂ©chirĂ© les pages de notre histoire Et j’ai brĂ»lĂ© ce qu’il reste de tes Vans, laissĂ©s dans mon placard Et qui pourrait m’en vouloir tu sais Tu n’étais qu’un fardeau De rouille et d’encre tu laisses ta marque D’ITS en cadeau Et comptais-tu les fois passĂ©es chez elle À rĂ©pĂ©ter les vas-et-viens Comme les vagues qui m’emportent vers la fin Tu sais, que tu ne me mĂ©rites pas Quand le jour se lĂšve sans Ă©moi J’espĂšre que tu penses un peu Ă  moi Mais tu peux crever lĂ -bas C’est dur mais c’est mieux comme ça Pourquoi pensais-je que tu me serais fidĂšle Tu as sautĂ© les Ă©tapes, les lits, de peur et puis d’ennui Et si le bruit d’une planche qui roule m’émeut Ce n’est ni pour toi ni notre histoire, c’est parce qu’on n’est plus deux Et qui pourrait m’en vouloir tu sais Tu n’étais qu’un fardeau Le ventre lourd tu ne bandais plus De force liquide en trop Et comptais-tu les fois passĂ©es chez elle À rĂ©pĂ©ter les vas-et-viens Comme les vagues qui m’emportent vers la fin Tu sais, que tu ne me mĂ©rites pas Quand le jour se lĂšve sans Ă©moi J’espĂšre que tu penses un peu Ă  moi Mais tu peux crever lĂ -bas C’est dĂ»r mais c’est mieux comme ça 8. CrĂ©puscule 0345 lyrics buy track Quand ton corps frĂŽlait le mien au sol La chaleur des instants s’envole Et brĂ»le d’un dĂ©sir incertain De prendre ta main Sous le soleil on comptait les heures Qui fanent comme fanent les fleurs Incandescent comme notre amour Dans son parcours Et le temps d’avant Nous tend ce que l’on caressait À vif, nos vies, ne laissaient que nos Cris au loin, crĂ©dules, nos peaux au crĂ©puscule Et pourtant j’espĂšre encore que l’enfant que j’étais Retrouve enfin, une parcelle de paix De rires, de libertĂ©, sans fin Une belle histoire ne pourrait durer C’est ce qu’on a compris Ă  s’aimer De part et d’autres, on vit sans cause Ou peu de choses Je ne sais plus si c’est notre amitiĂ© Qui fĂ»t la premiĂšre Ă  gagner Ton souffle me laissait sans frisson Comme protection Et le temps d’avant Nous tend ce que l’on caressait À vif, nos vies, ne laissaient que nos Cris au loin, crĂ©dules, nos peaux au crĂ©puscule Et pourtant j’espĂšre encore que l’enfant que j’étais Retrouve enfin, une parcelle de paix De rires, de libertĂ©, sans fin 9. Le monopole de la douleur 0359 lyrics buy track On s’embrasse comme on quitte La peine et l’ardeur Des instants passĂ©s entre nous Tu regardes la neige au sol qui fond Mais mes dires ont atteint le bout Que je parle de la fin d’une histoire, tu n’entends plus rien Que je m’exprime tout haut, tu n’y vois qu’une maudite fin Et les lignes des Ă©popĂ©es de nos nuits racontent leurs histoires Mais j’en ai marre qu’on broie du noir Tu penses que tu es le seul Ă  souffrir Qu’importe que je saigne aussi Tu parles comme si les choses t’attendaient Mais tu te complais dans tes oublis Mais Ă©coute lĂ  tout de suite, c’est complet c’est fini De douleur et d’ennui, de passion pour autrui Mais Ă©coute lĂ  tout de suite, c’est complet c’est fini J’ai eu mal aussi On se laisse comme on trouve L’amour d’un instant SituĂ© au plus profond de nous Je ne sais pas si l’on compte nos flammes du passĂ© Mais elles me manquent, plus que tout Que je crie plus fort que toi, tu n’entends plus rien Que je maudisse tes actions, tu n’y vois qu’un autre destin Et les rĂȘves qu’on chĂ©rissait deviennent les pires des cauchemars Mais j’en ai marre qu’on garde espoir Tu penses que tu es le seul Ă  souffrir Qu’importe que je saigne aussi Tu parles comme si les choses t’attendaient Mais tu te complais dans tes oublis Mais Ă©coute lĂ  tout de suite, c’est complet c’est fini De douleur et d’ennui, de passion pour autrui Mais Ă©coute lĂ  tout de suite, c’est complet c’est fini J’ai eu mal aussi 10. HĂ©las 0209 lyrics buy track Qu’on s’attise ou qu’on s’éteigne Nos flammes vivront par elles mĂȘmes Que l’on vive ou que l’on saigne L’ardeur vibre dans nos veines On s’était promis au lendemain À tous ces lendemains de veille Nos peaux brĂ»laient d’incertains De peur de perdre cette Ă©tincelle HĂ©las, je pensais ĂȘtre seule Et ce retour vient me noyer Dans les abysses de l’inconnu, que je ne croyais toucher HĂ©las, je ne sais que faire Des cendres, peut-on renaĂźtre? Je ne suis qu’un ĂȘtre esseulĂ© De peur d’ĂȘtre abandonnĂ© Du froid qu’on ressent en nous Nos dĂ©mons au garde Ă  vous Quitte ou double, les jeux sont faits Prendre une chance c’est ĂȘtre dĂ©fait On s’était promis des aveux Mais l’on vit de voeux Les pas qu’on faisait vers l’avant S’enfoncent en reculant HĂ©las, je pensais ĂȘtre seule Et ce retour vient me noyer Dans les abysses de l’inconnu, que je ne croyais toucher HĂ©las, je ne sais que faire Des cendres, peut-on renaĂźtre? Je ne suis qu’un ĂȘtre esseulĂ© De peur d’ĂȘtre abandonnĂ© credits released October 15, 2021 Paroles et musique BĂ©atrice Martin RĂ©alisation et arrangements Renaud Bastien et BĂ©atrice Martin Enregistrement Renaud Bastien Mixage Pascal Shefteshy Mastering Marc ThĂ©riault au Lab Studio RĂ©ti - Studio PrĂ©lart - Studio Marquette - Studio CarrĂ© Enregistrement des batteries Renaud Bastien et Vincent CarrĂ© Enregistrement voix et pianos sur Tu ne seras jamais là» Pascal Shefteshy au Studio PM Enregistrement voix et cordes sur On s'aimera toujours» Ghyslain-Luc Lavigne au Treatment Room BĂ©atrice Martin voix et piano Renaud Bastien basse, guitares, claviers, synthĂ©s, mandoline, percussions et voix Vincent CarrĂ© batterie et percussions Alexandra StrĂ©liski pianos sur Tu ne seras jamais là» Éveline GrĂ©goire-Rousseau harpe sur Le Monopole de la douleur» Marjorie Bourque violons sur On s'aimera toujours» et Le Pacifique» Vincent Bergeron violoncelle sur On s'aimera toujours» Marianne Croft violoncelle sur Le Monopole de la douleur» Sonny Thomassin choeurs sur Tu peux crever lĂ -bas» license all rights reserved J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer .. " Emerveille-ee. Description : MademoizelleÂČ O'dreiii __.#. Parfois, c'est en croisant le regard d'une personne de notre passĂ© qu'on se Auteurs Dors, toi qui ne sais pas encore / Tout ce qui t’attend dehors / Quand la vie te jettera dans la gueule du loup / Quand tu reviens de l’école / En me posant des colles / Sur la vie ou tout autre sujet
 La rage au corps / La mort au cƓur / J’te veux encore / J’en vis et j’en meurs / / Tu m’jettes pis tu m’prends / Mais lĂ  c’est une fois de trop / Veux-tu boire tout mon sang / Me ronger jusqu’aux os?
 Dans mes nuits, je vois des murs de feu / Je traverse des ocĂ©ans de sang / Je croise le fer avec les anges de l’enfer / Et mes jours sont un long tunnel / Au bout duquel / Tu m’appelles / / Attends-m
 Gitan / Je rĂȘvais enfant / De vivre libre comme un gitan / / Je voyais des plages / De sable noir / OĂč couraient des chevaux sauvages / / Et je dessinais dans mes cahiers / Les sentiers secrets / De
 J’ai l’blues de vous / Mes amis disparus / / J’ai l’blues de vous / Mes amis disparus / Le blues de vous / Je vous cherche partout / Dans les bars, dans les rues / Dans ces lieux incongrus / OĂč nous 
 L’avion va se poser / Je n’reconnais pas / Les lumiĂšres de ma ville / Dans la nuit immobile / Prenez-moi dans vos bras / Je reviens de loin / Ne me demandez pas / De quel pays je viens / Devant les do
 J’ai mis du bois d’érable dans la cheminĂ©e / Qu’il est loin dĂ©jĂ  notre Ă©tĂ© / Et le jeu de Scrabble restĂ© sur la table / À la lettre oĂč tu l’as laissĂ© / / Peut-on aimer si fort qu’il n’en reste rien /
 Tant de fois j’ai tentĂ© / D’aller toucher les Ă©toiles / Que souvent en tombant / Je m’y suis fait mal / / Tant de fois j’ai pensĂ© / Avoir franchi les limites / Mais toujours une femme / M’a remis en 
 Aimer / Comme j’t’ai aimĂ©e / J’pensais pas qu’ça s’pouvait / J’savais pas qu’ça existait / / T’aimer / T’aimer comme j’t’ai aimĂ©e / Y a pas un homme au monde / MĂȘme sur le toit du monde / Qui t’aimer
 Il faut vivre avec celui qu’on aime / Avoir la force ou la faiblesse / De partir sans laisser d’adresse / Il faut vivre avec celui qu’on aime / En gardant de la tendresse / Pour ceux qu’on laisse / Po
 Jai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer Mais ce n'est pas la rĂ©alitĂ© J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'en aller J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait ĂȘtre ensemble J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ExpĂ©diteur Conversation jessye EnvoyĂ© le 3/5/2016 1734 Mascotte d'OasisInscrit le 17/12/2006De dans mon chĂąteau de brumes ...Envois 20184 J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ...Je voudrais m'endormir sur ton cƓurcontre ton corps comme si s'Ă©tait l'Ă©tĂ© toujoursĂȘtre la lueur de la flamme de l'amourcelle qui brille dans tes yeux, regard de douceur Viens apaiser mes pleurs, mes pĂ©nibles douleursje t'Ă©crirais les mots aux sons de tes Ă©gardsportes-moi dans tes nuits, enveloppes-moi de chaleurpour une jolie histoire avant qu'il soit trop tard J'ai le sensible Ă  fleur d'une peau de chrysanthĂšmeet le cƓur en Ă©clat de rouge, d'un peu de toiviens plonger tes yeux dans mes plus beaux je t'aimelaissons battre nos cƓurs unis dans l'Ă©moi Je voudrais t'endormir Ă  l'orĂ©e de mon cƓurc'est un pays mielleux emplit de papillonsqui viendront dĂ©poser sur tes joues et ton frontmille et une couleurs d'incroyables senteurs -C'est beau d'ĂȘtre seule. Être seulene signifie pas ĂȘtre solitaire. Cela signifie que l'esprit ne vit pas sous influence et qu'il n'est pas polluĂ© par la sociĂ©tĂ©.[Jiddu Krishnamurti] parfundoux EnvoyĂ© le 3/5/2016 1804 Mascotte d'OasisInscrit le 14/11/2006De Envois 13577 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ...Un poĂšme plein d'Ă©lan pays de ton coeur emplit de papillons donne des images trĂšs belles. -Voici mon recueil de poĂ©sie 2017. islander EnvoyĂ© le 3/5/2016 1810 Mascotte d'OasisInscrit le 11/4/2009De Baltimore, BretagneEnvois 53377 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ...des vers amoureux et qui font parcourir de doux frissons, merci jessyeyann Noel-Opan EnvoyĂ© le 3/5/2016 1815 Mascotte d'OasisInscrit le 9/2/2011De dans le Lot Ă  CahorsEnvois 11317 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ...Mais voilĂ  que le soleil rĂ©chauffe nos peaux sensibles ayant l'amour en cible....Je suis content de constater le saut d'humeur...merci katychams EnvoyĂ© le 3/5/2016 1818 Plume d'orInscrit le 22/1/2015De AuvergneEnvois 1458 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ...Wahou il est superbe !!! J'adore Bisous tendres-32 ans et mĂšre de 2 fillettes, ex-expatriĂ©e. J'ai longtemps cru avoir le mal du pays avant de comprendre... pour votre soutien qui m'aide Ă  avancer chris-ray EnvoyĂ© le 3/5/2016 1819 Mascotte d'OasisInscrit le 22/6/2005De PyrĂ©nĂ©es AtlantiquesEnvois 27572 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ...Youpeeeeh ! Le rĂȘve est tout proche de la rĂ©alitĂ©... je le sens, le subodore, le devine... C'est tout ce que je te souhaite blondinette.... - Christian RAY avec Michel Drucker et Patrice Laffont ROLLANDPOEME EnvoyĂ© le 3/5/2016 1855 Plume de platineInscrit le 24/1/2015De Envois 3257 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ...Profond et sincĂšre souhait, que ce rĂȘve se rĂ©alise!Belle soirĂ©eRolland Chibani EnvoyĂ© le 3/5/2016 1910 Plume de diamantInscrit le 9/12/2009De Val d'OiseEnvois 11076 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ...Superbe ce dernier quatrain... De trĂšs belles pays merveilleux peuplĂ© de papilllons Guy ISABELLE59 EnvoyĂ© le 3/5/2016 1920 Mascotte d'OasisInscrit le 14/12/2011De DUNKERQUEEnvois 17023 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ...qu'il est beau ton poĂšme Jessye..et on dirait bien que ta plume '' a pris des couleurs ''... est ce le soleil ??? - Denise12 EnvoyĂ© le 3/5/2016 1921 Plume de diamantInscrit le 20/6/2015De Envois 21314 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ...merci pour ce superbe poĂšme d'amourbonne soirĂ©eDenise Gabriellee EnvoyĂ© le 3/5/2016 1925 Plume d'orInscrit le 7/4/2016De CĂŽte d'Armor prĂšs de Lamballe Envois 677 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ...que de belles images colorĂ©es comme un songe d'Ă©tĂ©parfumĂ©es Ă  l'encre de votre Ă©moije vous souhaite de rĂ©aliser vos rĂȘves -micalementGabrielle. la poĂ©sie en toute libertĂ©, l'aimer, la lire, l'Ă©crire.. un reflet dans le miroir des blog Peyrepertuse EnvoyĂ© le 3/5/2016 1945 Plume de platineInscrit le 13/1/2016De OrangeEnvois 6609 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ...Mais ce n'est pas un rĂȘve vous pouvez vous aimer et c'est tout le mal qu'on vous souhaiteet qu'on peut souhaiter Ă  tout le rivedusoleil EnvoyĂ© le 3/5/2016 2014 Plume de platineInscrit le 31/10/2015De Envois 4394 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ...une rĂȘverie dans les profondeurspoĂ©tisĂ©esuperbe Ă©crit -Ah ! si seulement avec une goutte de poĂ©sie ou d'amour nous pouvions apaiser la haine du monde !RĂ©sidence sur la Terre 1935 Pablo NerudaBlog Lochaber EnvoyĂ© le 3/5/2016 2029 Plume de platineInscrit le 19/8/2009De NormandieEnvois 8618 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ....... Finis les noirs et gris, un rĂȘve de douceur en couleurs !!! Excellent !AmitiĂ©sJacques Dom EnvoyĂ© le 3/5/2016 2029 Plume de platineInscrit le 11/3/2008De cadillacEnvois 4154 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ...Biggg kiffff...J'adore.... -"Pour les rĂȘves qu'on a fait et pour ceux qu'on feraPour le poing qu'on a levĂ© pour celui qu'on lĂšvera..." poemic EnvoyĂ© le 3/5/2016 2110 Mascotte d'OasisInscrit le 30/10/2008De franche comtĂ©Envois 28912 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ...Des images amoureusesqui peuvent devenir rĂ©alitĂ©..j'ai aimĂ© suivre ce cheminement !AmitiĂ©s en biseschĂšre Jessyemichel -MON 2eme RECUEIL...JE TE PORTE L'AUBE..EST DISPONIBLE.. EvilFranck EnvoyĂ© le 3/5/2016 2140 Plume de diamantInscrit le 8/7/2013De PandoreEnvois 62880 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ...Bonsoir jessye, magnifique rĂȘve poĂ©tique, je te souhaite qu'il soit prĂ©monitoire AmitiĂ©s Ogr3 EnvoyĂ© le 3/5/2016 2306 Plume de platineInscrit le 25/4/2016De Voie LactĂ©e, Terre, parfois LuneEnvois 8376 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ... Bonsoir jessye, c'est toujours dĂ©licat ce que tu divagues... Merci Marc Porthos EnvoyĂ© le 4/5/2016 1015 Plume d'argentInscrit le 7/6/2015De Envois 259 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ...Bonjour !De plus en plus de monde en rĂȘve, sĂ»rement que l'amour aujourd'hui n'est plus qu'un passe-temps pour des gens trop pressĂ©s qui n'ont plus le temps de vraiment aimer hakimAR EnvoyĂ© le 4/5/2016 1233 Mascotte d'OasisInscrit le 4/11/2011De Envois 12406 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ...Certains disent que le rĂȘve est le moyen de fuir la rĂ©alitĂ©D’autres affirment que c’est le chemin qui conduit Ă  celle-ciJe suis d’accord avec les derniers car toutes les rĂ©alisations ont d’abord Ă©tĂ© imaginĂ©es et rĂȘvĂ©es avant de voir le jourRĂȘve Jessye, et fais nous rĂȘver, tes mots sont si beaux - Coconuts EnvoyĂ© le 4/5/2016 1249 Plume de platineInscrit le 23/5/2011De Fontenay le FleuryEnvois 3340 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ...Je crois que l'on ne peut qu'aimer ce poĂšme bouleversant aux images qui me parlent. AmitiĂ©s, Laurent -En vĂ©ritĂ© l'art est enfermĂ© dans la nature; celui qui peut l'en extraire, celui-lĂ  est un maĂźtre. Albrecht Durer keraban EnvoyĂ© le 4/5/2016 1553 Mascotte d'OasisInscrit le 15/11/2007De La CorrĂšze du sudEnvois 11099 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ...On dirait bien que c'est dĂ©jĂ  mieux qu'un rĂȘve, tellement ça respire la JessyeBisous de Keraban -J'aime la poĂ©sie qui me parle et qui chanteLire plusieurs de mes livres rĂ©cits, roman, polar, essai, poĂšmes Bulle Des Terres EnvoyĂ© le 5/5/2016 704 Plume de platineInscrit le 1/2/2015De Envois 3244 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ...Que ce rĂȘve est beau. -Bulle des Terres - Livres LJB / Edilivre - Site LJB Auteur moz-art EnvoyĂ© le 6/5/2016 1129 Plume d'orInscrit le 9/11/2014De Envois 624 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ...Bonjour ,,,beau texte jessye bonne journĂ©e J'ai lu et relu tes quatrainsEt j'ai senti les mots un par un Tu baignes dans l'amour jusqu'au couEt tu joues tes cartes et tes atouts mozart berrichonne EnvoyĂ© le 7/5/2016 1247 Plume de diamantInscrit le 17/6/2008De Envois 13718 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ...oh que c'est beau !!!! je t'adore aussi dans ce registre oĂč la souffrance est sont tes mots. Bisous -La vie est belle il faut savoir l'apprĂ©cier. MICKAELLE EnvoyĂ© le 7/5/2016 1329 Mascotte d'OasisInscrit le 5/2/2015De Envois 15415 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ...Un tendre et trĂšs beau poĂšme, j'aime beaucoup la lecture!!!!!!!!! Dumnac EnvoyĂ© le 7/5/2016 1356 Plume de platineInscrit le 12/8/2012De 49130 Les Ponts de CĂ© AnjouEnvois 6427 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ...C'est bon de voir Jessye, le cƓur Ă  marĂ©e haute!Mon amitiĂ©Dumnac blackbywhite EnvoyĂ© le 7/5/2016 1515 Plume de platineInscrit le 27/3/2010De Envois 2045 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ...invitation et dĂ©claration, le bourgeon d'un nouvel amour....- Cavalliero EnvoyĂ© le 8/5/2016 2028 Plume de platineInscrit le 24/3/2016De De Breizh dite IzelEnvois 2164 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ...que c'est beauet"J'ai le sensible Ă  fleur d'une peau de chrysanthĂšme"il y avait a aura un chanceux anonyme EnvoyĂ© le 15/3/2018 1931 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ...comme c'est beau Jessye
Jai soutenu un mémoire de maßtrise sous la direction de M.Philippe Vigier au sujet de l'insurrection de 1851 dans la petite ville de La Suze-sur-Sarthe, berceau de mes aïeux. J'ai soutenu une thÚse de doctorat sous la direction de M.Francis Démier en 1999 au sujet du mouvement insurrectionnel de 1851 dans le département de la Sarthe. Depuis, la passion
Harry Potter 2005 ~€~ AcadĂ©mie de Poudlard ~€~ Les couloirs Re Une piĂšce dĂ©saffectĂ©eInvitĂ©, le Ven 3 Nov - 102 FICHE PAR SWAN - bazzart & Azryel Pv Arty & mutuelle. . Fuis - moi, je te suis Quelle belle connerie, de croire qu'en ces lieux, tout est de mots, plus de paroles, soudainement, j'Ă©tais devenu muet dĂ©s l'instant oĂč le jeune pouffy s'Ă©tait rĂ©solu Ă  me donner ce qu'on dĂ©sirait, silencieusement, tous les deux. Un instant de pur dĂ©lice charnel, Ă©changĂ©s dans une piĂšce intime, bien qu'un peu rustre, Ă  l'abri des regards indiscrets, comme durant notre premiĂšre entrevue. Pour lui, j'avais ravalĂ© mes larmes en les sĂ©chant d'un revers de la main, me disant aussi qu'il n'y aurait plus qu'un seul moyen de communication entre nous deux, c'Ă©tait physique, quelque chose de possible et d'excitant Ă  la fois. Ce qui Ă©tait encore plus distrayant, c'Ă©tait nos regards pĂ©tillants d'un dĂ©sir commun, sachant tous deux qu'on le pouvait refuser le corps de l'autre, ne sachant dire " non " Ă  nous-mĂȘmes et nos propres dĂ©sirs de s'offrir Ă  l'autre, sans pour autant Ă©prouver le moindre amour Ă  nos yeux. Pourtant, ce que j'aimais avec lui, je n'avais plus besoin de lui faire part de mes envies, de mes fantasmes les plus intimes ou de provoquer la venue d'images non censurĂ©es dans sa tĂȘte, puisqu'il me comprenait sans trop de difficultĂ©s. Ainsi, je restais simplement couchĂ© sur le sol, comme si j'Ă©tais Ă  sa merci. Entre ses doigts, contre la paume de sa main sur mon torse, dure et bien prĂ©sent, puisque je pouvais sentir mon cƓur battre hors de ma poitrine lorsqu'il glissait ses doigts par-dessus mes habits. J'avais une Ă©trange envie qui m'envahissait en douceur, ayant besoin de me changer les idĂ©es. Le paroxysme de mon plaisir d'avoir recours Ă  une douceur aussi sensuelle et endiablĂ©e avec lui, Ă©tait Ă  son comble. Je trouvais cette proximitĂ© secrĂšte, dangereuse, mais tellement libĂ©ratrice de mes soucis personnels. Pour ma part, elle avait certains avantages sur le plan physique comme sur le plan amical. Avec un peu de rĂ©flexion sur le sujet, j'Ă©tais, Ă  mĂȘme de comprendre que nous ne pouvions pas n'ĂȘtre que des amis normaux, mais des amants amis, peut - ĂȘtre que dans l'avenir, on finirait par s'entendre davantage aussi ? Soudainement, un long choc venait de m'Ă©lectriser tout mon corps, traversant de mes pieds jusqu'Ă  ma tĂȘte. Je croisais, enfin, son regard lorsque ses cordes vocales se dĂ©cidaient Ă  s'activer pour la troisiĂšme Ă©dition. Alors, je prenais mes bonnes vieilles habitudes de dominant par la main, le faisant s'allonger sur le dos, sur le sol, Ă  son tour. Venant, ensuite, d'un coup de bassin, par-dessus de lui lorsque je venais de passer une jambe au-dessus de sa taille. J'avais fini par m'assoir au niveau de son service trois-piĂšces facilement dissimulĂ© par son uniforme froissĂ©. AmusĂ© de la situation, je me penchais vers ses avant-bras, n'en prenant qu'un, le plus proche, pour ensuite venir l'embrasser chastement du bout de mes lĂšvres. Le taquinant avec des gestes tendres, je me dĂ©cidais Ă  me pencher un peu plus vers le haut, allant ensuite capturer ses lĂšvres. Dans un second chaste baiser, je l'intimais Ă  fermer ses paupiĂšres doucement, lui mordant ainsi, la lĂšvre infĂ©rieure. Le temps que l'excitation brutale qui m'avait rapidement envahie, puisse baisser un peu. Je me disais que j'avais le temps de me calmer et de laisser mon dĂ©sir de le "manger cru" avais besoin de s'apaiser aussi. C'Ă©tait montĂ© si soudainement que j'avais finis par sentir les muscles de mon ventre se tordre d'un coup, c'Ă©tait presque trop douloureux, sur le coup. Puis, ce fut court, rapide, mais puissant et lorsque ladite vague redescendit enfin, j'avais eu l'impression que mon cƓur avait ratĂ© un battement, qu'il s'Ă©tait permis de voyager jusqu'au creux de mon ventre, dans le bas de celui-ci, non loin de mon nombril. À chaque battement de cƓur, je sentais une autre partie de mon corps pulser sous ses montagnes de tissus, n'ayant qu'une envie, faire plaisir et le partager qu'avec la seule personne qui mĂ©ritait tant de passe-droit sur mon corps, Ă  mes yeux. Quelle exquise torture Ă  le voir ainsi, allongĂ© sur le sol oĂč j'y Ă©tais prĂ©cĂ©demment, je m'en lĂ©chais mĂȘme la lĂšvre infĂ©rieure Ă  le voir ainsi. Attirance, douce existence, je n'avais pas de nom pour qualifier la beautĂ© du spectacle, pas de mots vulgaires que j'employais si souvent dans mon vocabulaire fleuri pour dĂ©crire la scĂšne qui se dressait devant moi. MĂȘme du regard, je m'amusais aussi Ă  le dĂ©shabiller alors que mes mains commençaient, tout juste, Ă  s'Ă©chauffer. Un juron s'Ă©tait probablement Ă©chappĂ© de mes lĂšvres, trop bas pour qu'on puisse le comprendre, mĂȘme moi-mĂȘme, je n'arrivais pas Ă  saisir la nature de mes propres mots, prononcĂ©s dans ma langue maternelle. Les quelques syllabes de mon passĂ© que je venais de prononcer, m'avait tout bonnement, Ă©chappĂ©s et le temps de le rĂ©aliser, c'Ă©tait dĂ©jĂ  de l'histoire ancienne aussi. Puis, j'attendais qu'il rouvre ses paupiĂšres quand j'avais fini par dĂ©nouer ma cravate et Ă  peine dĂ©boutonner le haut de ma propre l'observant me regarder, je ne me lassais pas de venir passer le bout de ma langue sur sa lĂšvre infĂ©rieure avant de la lui mordiller. Cette envie de lui faire du "mal" en lui faisant plaisir, me revenait sans cesse en tĂȘte, s'insinuant doucement dans le creux de mon ventre, montrant peu Ă  peu qu'il Ă©tait de plus en plus difficile de lui rĂ©sister, mĂȘme si au dĂ©part, c'Ă©tait lui qui me boudait et moi, qui dĂ©primais. Que pouvais-je bien faire, le mordre, le griffer oĂč lui faire de douces caresses auquel, il n'avait su dire "non", la fois prĂ©cĂ©dente. Toutes ces choses, qui, semblaient absurdes ou futiles pour le commun des mortels, je ne pouvais pas m'empĂȘcher de me questionner sur le sujet. Cet Ă©ternel envie de le retourner, de lui mordre la nuque et de lui faire subir des sĂ©vices avec son consentement, me faisait perdre la tĂȘte, bien plus que mes cauchemars, eux - mĂȘme. Ainsi, je secoue cette derniĂšre, prĂ©fĂ©rant aller lui mordre le cou avec une agrĂ©able attention, le marquant mĂȘme de tes dents Ă  un endroit discret comme si c'Ă©tait ma marque de propriĂ©tĂ© et, mĂȘme si on vient Ă  la voir, je m'en fichais pas mal aussi. Finalement, aprĂšs de longues minutes intimes, de gestes qui nous dĂ©shabillaient de nos vĂȘtements, nous laissant divaguer dans un monde qui Ă©tait le nĂŽtre. On s'Ă©tait retrouvĂ©, une fois de plus, corps entrelacĂ©es, le souffle coupĂ© avec ma tĂȘte posĂ©e sur son torse en Ă©coutant son cƓur battre, alors que j'en profitais, rien qu'un instant pour rĂ©cupĂ©rer un peu d'Ă©nergie. Besoin de repos... J'avais besoin de souffler et de me reposer quelques secondes... Car mĂȘme avec le ventre vide et la tĂȘte dans les Ă©toiles, j'Ă©tais Ă  deux doigts de m'Ă©vanouir aussi. Quelle ironie. Artemis WildsmithPoufsouffle Re Une piĂšce dĂ©saffectĂ©eArtemis Wildsmith, le Dim 5 Nov - 006 Impossible qu’il ressorte de cette piĂšce sans avoir consommĂ© l’autre, consumĂ© l’ardeur qui l’étouffait. De le voir ainsi sous lui, il ne pouvait ignorer les fureurs qui l’habitaient, jusqu’au bout de ses doigts. Qu'est-ce qui le rendait si fou exactement ? Le Serpentard lui-mĂȘme ou l’idĂ©e, le concept d’ĂȘtre lĂ , cachĂ©s et de profiter l’un de l’autre. Parce que la rĂ©ponse de Zack ne se fit pas tant attendre, quoi qu’elle fut dĂ©nudĂ©e de mots. Plus de larmes dans son regard alors qu’il prend le dessus. Dans un souffle Arty se laisse faire, comme si le Vert & Argent savait ou comprenait ce qu’il dĂ©sirait. Pas besoin de paroles en rĂ©alitĂ©, tout Ă©tait dans le toucher. Sans surprise, la position le fait vaciller de l’intĂ©rieur tandis qu’il se pince les lĂšvres. La vue est parfaite. Mais bientĂŽt disparue alors que le Serpentard lui capture la lĂšvre infĂ©rieure. Il sent la fougue de son partenaire, impossible de passer outre et cela n’a de consĂ©quence que de le rendre davantage impatient. Ses yeux s’ouvrent et il ne peut rĂ©primer la lueur taquine de son regard. C’est qu’ils pouvaient passer aux choses sĂ©rieuses. Les dents de Zack sur sa lĂšvre accueillent un gĂ©missement de la part du Blaireautin, confirmĂ© par les minces et savoureuses morsures que le Vert & Argent s’amusait Ă  dessiner dans le creux de son cou. Douce douleur mĂȘlĂ©e au plaisir. Accord tacite qu’il passait en serrant entre ses doigts des mĂšches de cheveux de l’autre. C’était bien la premiĂšre fois. Il laisserait Zack faire de lui ce qu’il voulait, il n’était pas contraignant, juste profiteur, sĂ»rement. Servir le plaisir du Serpent en le laissant user de lui. Pantin pleinement conscient. AprĂšs tout, il l’avait un peu menĂ© jusque-lĂ . Puis vraiment, il n’avait aucune volontĂ© d’arrĂȘter tout ça, mĂȘme, il en profitait largement alors qu’il laissait aller ses mains explorer le corps du jeune homme, ne pas laisser une parcelle non visitĂ©e, ça ferait des jaloux. Le serrer contre lui, passionnĂ©. Puis le noir se fait tandis qu’il s’abandonne complĂštement Ă  l’intimitĂ© fĂ©brile. Zack semble Ă©puisĂ© et pensif, aprĂšs l’amour, ou du moins le plaisir charnel. Le Poufsouffle glisse sa main dans les cheveux du garçon et se contente d’observer le plafond. Quelques minutes de rĂ©pit, tout de mĂȘme. Ça va ? » Simple question qu’il se devait de poser. AprĂšs tout, avant cela, l’autre n’était pas tout Ă  fait partant pour cette petite partie. Lui non plus d’ailleurs, mĂȘme si ça l’évĂ©nement ne le surprenait pas tellement. Il se demande alors ce qui le pousse tant Ă  vouloir ressentir ce feu, Ă  chaque fois. La rĂ©ponse Ă©vidente surgit devant ses pupilles. Les sentiments. Foutaises, il ne le connaissait pas. Enfin, façon de parler. Non, il Ă©tait juste un consommateur insatiable du corps du Serpentard et il n’avait aucune idĂ©e de jusque quand cette histoire allait durer. Aussi longtemps qui le voudrait, certainement. Parce que finalement, il y Ă©tait parvenu, Ă  avoir ce qu’il voulait. L’autre aussi, sĂ»rement. Mais le caprice d’Arty n’avait pas Ă©tĂ© vain. Il fallait qu’il accepte qu’il Ă©tait juste lĂ  pour profiter, qu’il n’y avait pas d’autres raisons que le plaisir qu’il prenait avec Zack. Doucement, il repousse le Serpentard. Il fait mine de rĂ©flĂ©chir alors qu’il revĂȘt son uniforme davantage froissĂ©. Ses yeux reviennent s’accrocher Ă  ceux de Zack. Il s’approche, se pose contre lui et l’entoure de ses bras tandis que ses lĂšvres viennent effleurer l’oreille de l’autre. Ne me fuis plus, jamais. » Autrement dit, ne me force plus Ă  pareil caprice. Personne ne quitte Arty. C’était un avertissement, une menace. PonctuĂ©e d’un baiser dans le creux du cou. Il ne savait pas tellement s’il Ă©tait capable de la profĂ©rer, ou de l’exĂ©cuter, mais il pouvait toujours tenter. Il ne parle pas des consĂ©quences, parce que ça lui paraĂźt Ă©vident. Si tel est le cas, au revoir ces pĂ©tillantes rencontres. Il se recule alors pour lui faire face, plus guilleret. Si quelque chose ne va pas, je prĂ©fĂšre que tu me le dises, tout simplement, que tu m’en parles. » Ça Ă©viterait les crises de colĂšre dans les cachots, par exemple. Cela trouvait donc sa source dans son Ă©goĂŻsme, il ne voulait plus ĂȘtre abandonnĂ©, voilĂ  tout. Et il ne voulait surtout pas dire au revoir Ă  ces Ă©pisodes intimes. InvitĂ© Re Une piĂšce dĂ©saffectĂ©eInvitĂ©, le Dim 5 Nov - 1430 FICHE PAR SWAN - bazzart & Azryel Pv Arty & mutuelle. . Fuis - moi, je te suis Quelle belle connerie, de croire qu'en ces lieux, tout est ironie...Le monde Ă©tait façonnĂ© d'une Ă©trange façon, d'une maniĂšre bien Ă©trange Ă  m'en faire sourire intĂ©rieurement suite Ă  cette rĂ©flexion fortement bien mystĂ©rieuse aussi. On commençait toujours par des "premiĂšres fois". La premiĂšre venue au monde, le premier regard, premier sourire, premier pleure, premier mot, premiĂšre chute. Sans oublier Ă  l'adolescence, lorsqu'on aime pour la premiĂšre fois, qu'on fait l'amour pour la premiĂšre fois, on subit une premiĂšre rupture, nos premiĂšres douleurs, nos premiers coups d'coeurs...Un jour, on Ă©tait totalement hermĂ©tique Ă  toutes relations, s'interdisant d'aimer et l'instant d'aprĂšs, on s'adonne Ă  nos premiers dĂ©lits, nos premiers pĂȘchĂ©s... J'ignorais encore ce qui me liait Ă  Arty, de cette façon. Sentir son corps brĂ»lant d'un plaisir consommĂ© et consumĂ© en toute lĂ©gitimitĂ©, avec son consentement, m'avait rendu Ă  la fois, paisible et pensif pour autant. J'aimais tellement sentir cette proximitĂ© imparfaite, sentir le paroxysme d'un dĂ©sir en toute ambiguĂŻtĂ©. Il comblait mon bonheur interne Ă  la perfection, me rendant un peu gai, malgrĂ© mes moments chaotiques qui s'enchainent et se dĂ©chainent Ă  vouloir me faire perdre la tĂȘte. Pendant quelques longues minutes silencieuses, je me sentais aux anges, comme si je venais tout juste de dĂ©couvrir, ce qu'Ă©tait vraiment le pur moment de bonheur, un court instant de clartĂ© dans mes abĂźmes. Il Ă©tait ma lumiĂšre, mon phare pour m'Ă©clairer lorsque je me sentais perdu dans mes tĂ©nĂšbres. Pourtant, secouant bien vite ma tĂȘte, je me mettais Ă  pencher cette derniĂšre pour aller embrasser son cou. Le mordant ainsi, par endroit, le marquant continuellement Ă  diverses place comme pour le marquer et prĂ©tendre qu'il Ă©tait Ă  moi, qu'il Ă©tait mon jouet, ma chose... Mon mien... Mon "Doudou", mon nounours rien qu'Ă  moi. MĂȘme si ma conscience hurlait dans ma tĂȘte, "foutaise et supercherie", je l'envoyais bien loin se faire f**tre, parce que j'avais juste besoin d'un peu d'attention et pour l'instant, il Ă©tait le seul Ă  savoir comment combler chacune de mes lacunes aussi. DrĂŽle de jeu, n'est-ce pas ? J'aimais croisĂ© son regard, sentir sa chaleur qui s'emparait doucement de moi. Bien que mes vertiges avaient du mal Ă  se calmer, je m'autorisais Ă  l'enlacer encore, prĂ©fĂ©rant me montrer un peu plus doux, contrairement Ă  ce qui venait de se passer Ă  l'abri des regards, dans cette piĂšce dĂ©saffectĂ©e...Puis, je souriais faiblement, mais sincĂšrement lorsqu'il avait pris le soin de passer ses doigts dans mes cheveux, l'entendant aussi, me demander si j'allais bien... Sur le coup, que pouvais - je bien lui rĂ©pondre... Oui ? Non ? Je ne sais pas ? ... - Pourquoi ça n'irait pas ? » Tentative de diversion numĂ©ro un, rĂ©pondre Ă  une question par une autre, c'Ă©tait tout moi, ça. Je ne voulais pas lui rĂ©pondre, c'Ă©tait ma seule dĂ©fense quand je voulais fuir des situations qui dĂ©rangent. Et cette situation dĂ©range, parce que je devais parler, mettre des mots sur des sentiments. Peu importe leurs sens, j'Ă©tais coincĂ©, je ne pouvais pas fuir devant la rĂ©alitĂ©, je ne pouvais pas fuir dans mes rĂȘves ou laisser la place aux cauchemars pour me hanter. J'Ă©tais, un bref instant, mal Ă  l'aise. Ainsi, je me sentais repoussĂ©, ce qui me tirait hors de mes songes pour apercevoir le prĂ©fet des jaunes, s'habiller en toute Ăąme et conscience. Bon sang, mĂȘme en s'habillant, il m'arrachait des frissons et des mordillages de lĂšvres et de langue. M'arrachant aussi, au passage, un coup de rougeur sur les joues, je me mettais assis Ă  mon tour avant de le voir revenir Ă  la charge. Le sentant ainsi venir prĂšs de moi pour me faire enlacer soudainement alors qu'il me murmurait quelque chose Ă  l'oreille qui n'intĂ©ressait que moi. Ne le fuis pas. Ne plus jamais le fuir... À l'entendre, ça semblait ĂȘtre une chose facile Ă  exĂ©cuter, alors que lĂ , je restais muet devant lui mĂȘme s'il m'avait encore embrasser au niveau de mon cou. Il m'arrachait encore des frissons et ma tĂȘte me disait qu'il fallait que je me fasse une raison. Au moment oĂč je levais les bras pour l'enlacer Ă  mon tour, ce dernier prit la fuite, s'Ă©loignant de moi sur un ton plus "joyeux" pour m'annoncer que je pouvais lui parler. Lui dire quoi, au juste ... Que j'ai envie de tout casser ? Que je suis malade parce que mes souvenirs me coupe l'appĂ©tit ? Que j'ai envie de sauter du plus haut de la tour parce que mon pĂšre me rend malade ? ... Que ma mĂšre m'a parlĂ© d'un garçon, Elius Askin, vaguement entre deux brides de conversations futiles et que j'ai, aucunement envie d'aller lui parler ? ... Que pouvais - je bien lui dire mise Ă  part que je cours aprĂšs des ombres pour fuir une rĂ©alitĂ© qui m'Ă©touffe, me rends malade et que sa charmante personne m'aide Ă  pas pĂ©ter un cĂąble... - ... Arty ... Je... Je..» Trop de rĂ©flexions, trop de mots Ă  assimiler d'un coup, trop de gestes... Mon corps s'Ă©tait Ă©ffondrĂ© sur le sol dans un bruit sourd, je venais de perdre connaissance. Il aurait fallu que je mange, que j'Ă©vite tout effort... Quelle ironie...Du sort. Artemis WildsmithPoufsouffle Re Une piĂšce dĂ©saffectĂ©eArtemis Wildsmith, le Mer 8 Nov - 1415 Le Blaireautin passe sa main dans son cou, effleurer et se rappeler lĂ  oĂč l’autre l’avait marquĂ©. Ça lui arrache un sourire puis un air interrogateur prend la place sur le visage. Son prĂ©nom avait rĂ©sonnĂ© Ă  travers les lĂšvres de Zack. Oui ? Il attendait, percer le regard du Serpentard, tenter de voir Ă  travers, avoir une rĂ©ponse. Sourcils qui se dressent pour attraper d’autres bribes de mots volants. Puis plus rien, il sent son partenaire faiblir, trop surpris il n’a pas le temps de le rattraper. Aussi parce que ses mains font le mouvement inverse, au lieu de se pencher vers Zackary, elles partent en arriĂšre, en l’air, mimant un symbolique oh. mon. dieu. Ou plus communĂ©ment. Whaaaaat ? il se fige un instant tout de mĂȘme, puis ça fuse, ça part de tous cĂŽtĂ©s dans sa tĂȘte. Il murmure des petits » incomprĂ©hensifs de l’état dans lequel se trouvait le Vert & Argent Ă  cet instant. Il bug. Puis il pense, dans le feu de l’action, prĂ©cipitamment. Super compliment tout de mĂȘme, il fallait le souligner. Ou pas d’ailleurs, c’était peut-ĂȘtre le contraire. Toujours est-il qu’il venait de tomber de fatigue, d’épuisement et qu’Arty se retrouvait complĂštement embarrassĂ©, les yeux Ă©carquillĂ©s. L’idĂ©e lui frĂŽle Ă©videmment l’esprit. Parce qu’il est ainsi. Qu’est-ce qu’il avait fait pour mĂ©riter ça exactement ? J’veux dire, si c’était pas la poisse cette situation gĂȘnante. Que l’autre n’aurait pas pu trouver moment plus opportun pour s’évanouir ? Non ? Il fallait qu’il l’embĂȘte lui ? PensĂ©e purement Ă©goĂŻste. Puis, pourquoi ça n’irait pas avait-il dit. Je sais pas parce que t’étais sur le point t’évanouir, ça aurait pu ĂȘtre sympa de prĂ©venir, juste comme ça, en passant, un lĂ©ger au fait. Mais il n’est pas non plus que ça, le gamin. Il rĂ©agit, un peu tard, quelques secondes vacillantes aprĂšs. Appelle Zack, le faire revenir dans le monde rĂ©el, il le secoue, peut-ĂȘtre un peu fort, il ne sait pas, sous la panique il ne rĂ©flĂ©chit plus trop. C’est que l’autre ne bouge vraiment plus. Ça s’empare de son cƓur pour le serrer fort. Alleeeeeez reviens ! » C’est qu’il s’impatiente. Allez, la mauvaise blague est finie quoi. MĂȘme si au fond, il est mort d’inquiĂ©tude. Puis un faible mouvement, ça remue, le Serpentard bredouille quelques mots. Alors le Poufsouffle, il soupire, expirer l’angoisse. Soulagement grandiose. Oh, t’es en vie ! Tu m’as fait une de ces peurs ! » Main sur le cƓur, il pensait ĂȘtre au bord de la crise lui aussi. Il lĂšve les yeux au ciel. Il n’imagine mĂȘme pas ce qu’il aurait dĂ» faire si le Serpentard ne s’était pas rĂ©veillĂ©. Le tout aurait Ă©tĂ© rudement compliquĂ©, expliquer le pourquoi du comment Ă  l’infirmiĂšre par exemple. Il se relĂšve brusquement, retour sur les pattes Allez, habille-toi, on bouge » Non il n’allait pas faire son peureux, son inquiet et couvrir le visage de Zack de bisous. Trop d’émotions d’un coup. Tellement angoissĂ© qu’il semblait ronchon maintenant. Quoi que heureux que l’autre soit de du RP, merci InvitĂ© Re Une piĂšce dĂ©saffectĂ©eInvitĂ©, le Sam 23 DĂ©c - 1729 PV ~ Anna SchomannUn songe, un doute, une porte, une fenĂȘtre, une belette, un squelette. Ici tout est noir et pour le moins Ă©trange. Le temps n’existe pas. Les secondes et les minutes viennent s’enfuir de la piĂšce. Il n’y a personne pour te tenir compagnie. Toi et seulement toi. Seul face Ă  ta conscience. Aucune aide n’est possible, la solution doit venir de ton ĂȘtre. Mais comment rĂ©flĂ©chir quand on ne voit rien ? A moins que le fait d’ĂȘtre persuadĂ© de ne rien voir nous empĂȘche de regarder les choses qui nous entoure. Nous empĂȘche d’avancer dans ce monde remplit de piĂšges et de monstres. Savoir entendre son coeur avant d’écouter autour de soi. Ressentir les choses avant de pouvoir toucher les murs de cette prison imaginaire. Toi seul connaĂźt la solution puisque c’est toi qui pose les bases de l’énigme. Il suffit d’un instant pour que les murs s’effondrent et laisse place Ă  la lumiĂšre et Ă  la libertĂ©. Mon esprit s’égard dans la pĂ©nombre. OĂč suis-je ? Qui suis-je ? Je suis Jacquie et il semblerait que je sois allongĂ© dans mon lit. Ai-je fait un cauchemar ? Oui je crois, tout avait pourtant l’air si rĂ©el. Le noir, la solitude, la tristesse, l’ennuie. Etre piĂ©gĂ© sans l’ĂȘtre vraiment. Mes draps mouillĂ©s laissent Ă  penser que j’ai beaucoup transpirĂ©. Que ce rĂȘve avait Ă©tĂ© Ă©prouvant. Mais quoiqu’il en soit, je dois faire quelque chose. Dehors dans le monde rĂ©el, il fait nuit. Le chĂąteau est endormi et moi je suis lĂ  dans mon coin, rĂ©veillĂ©. Du haut de mes dix-sept ans et de mes sept annĂ©es ici Ă  Poudlard, il y a encore de nombreux endroits que je ne connais pas. L’obscuritĂ© est le parfait alliĂ© dans ces explorations nocturnes. Ma baguette, ma cape, ma veste, mon sac. L’équipement du parfait aventurier. Il fallait ĂȘtre discret. MĂȘme si cela semble ĂȘtre important aux yeux des Ă©lĂšves de Poufsouffle, la course aux points n’intĂ©resse guĂšre quelqu’un comme moi. Mais la retenue qui accompagne presque systĂ©matiquement toute perte de points ne m’enchante pas. A moi de ne pas me faire prendre. C’est avec lenteur et prĂ©cision que Jacquie se glissa hors des dortoirs afin de ne pas rĂ©veiller ses camarades blaireaux. Une fois dehors, il Ă©tait sur son terrain de jeu. Ses pieds ne faisaient plus qu’un avec le sol et ses oreilles Ă©taient Ă  l’affĂ»t du moindre bruit suspect. Il cauchemardait sur la solitude et l’obscuritĂ©, pourtant c’est quand il est seul dans la nuit qu’il est le mieux. SacrĂ© paradoxe. L’adolescent s’engagea dans les escaliers afin de dĂ©nicher un nouvel endroit inconnu. AprĂšs quelques dĂ©tours il arriva dans un couloir sombre. Quel Ă©tage ? Il ne le savait pas. Pourtant son instinct le poussait Ă  continuer d’avancer vers l’inconnu. Enfin devant Jacquie se dressa une porte. Elle ressemblait Ă  tous ses semblables, pas trĂšs grande, en bois. Mails une petite voix intĂ©rieur lui disait que c’était ici qu’il devait aller. Respirant profondĂ©ment il pria intĂ©rieurement pour qu’elle soit ouverte. Bingo ! Elle n’était pas fermĂ©e. Avec prĂ©caution il entreprit d’explorer cette piĂšce inconnue. Elle ne ressemblait pas Ă  une salle ordinaire. Les choses Ă©taient diffĂ©rentes, il y avait quelque chose d’étrange qui Ă©manait de cet endroit. ArmĂ© de sa baguette, Jacquie Ă©tait en sĂ©curitĂ©. Pourtant, alors qu’il cherchait Ă  atteindre une partie de la piĂšce, des bruits de pas se firent entendre. Il se figea rĂ©gula sa respiration. Quelqu’un se trouvait dans le couloir Ă  quelques mĂštres de sa position, en pleine nuit. Anna KeatsSerdaigle Re Une piĂšce dĂ©saffectĂ©eAnna Keats, le Ven 5 Jan - 1430 PV - JacquieUne porte, une porte de bois, une respiration douce et discrĂšte mais qui ne passait pas inaperçue dans le silence de la nuit. Aucun autre mouvement se faisait sentir dans le chĂąteau, pas de lumiĂšre magique, seules les flammes dorĂ©es des chandeliers. Cette atmosphĂšre, je l'avais apprivoisĂ©e car la nuit dans Poudlard n'Ă©tait plus inconnue. Seulement, devant cette situation je me retrouvais Ă  chercher dans ma mĂ©moire comment je m'Ă©tais retrouvĂ©e ici, seule, ma baguette Ă©teinte Ă  la main, dans une aile qui ne me disait rien. Comme lorsqu'on rĂȘve, on se retrouvait toujours au milieu de l'action. Étais-je dans un rĂȘve, avais-je Ă©tĂ© atteinte de somnambulisme ou s'agissait-il juste d'une amnĂ©sie partielle due Ă  un Ă©veil nocturne, communĂ©ment appelĂ©e "la tĂȘte dans le boule". J'Ă©tais vĂȘtue d'un tee-shirt trop large gris qui descendait jusqu'aux mi-cuisses et d'un legging noir, mon pyjama. La main sur la porte, j'hĂ©sitais Ă  passer son seuil. Je ne savais ce que j'allais trouver, nous Ă©tions Ă  Poudlard aprĂšs tout. J'avais hĂ©sitĂ© Ă  invoquer un Lumos, mais selon l'espĂšce de ce qui se trouvait derriĂšre, le sort pouvait ĂȘtre pris comme un affront. Certains cours de SACM servaient finalement. Timidement, je passais l'entrĂ©e, la main serrĂ©e sur ma baguette et devant moi en cas d'attaque. La pĂ©nombre m’empĂȘchait de distinguer prĂ©cisĂ©ment les objets de la salle inconnue et encore moins la silhouette humaine Ă  quelques mĂštres derriĂšre moi. J'avançais donc en direction d'un vieux meuble en bois situĂ© sous la seule meurtriĂšre de la piĂšce. Rien, pas de mouvements, pas d'attaque, de grognement bestial. Quelque part j'Ă©tais rassurĂ©e de ne pas devoir me battre. Caressant la poussiĂšre sur son rebord, on pouvait sentir un filet d'air frai de l'extĂ©rieur s’engouffrer dans la salle. J'entendais toujours la respiration, et sans me retourner vers son origine, sans Ă©mettre le moindre ton agressif, je pariais sur la prĂ©sence d'un Ă©lĂšve plutĂŽt qu'un monstre. Un Ă©lĂšve qui m'aurait vu approcher et qui aurait trouvĂ© refuge dans cet endroit. Qui est lĂ  ? Je vous entends souffler. » InvitĂ© Re Une piĂšce dĂ©saffectĂ©eInvitĂ©, le Dim 4 FĂ©v - 1541 La peur s’empare de moi. Des frissons commencent Ă  parcourir mon corps et le sang froid remonte mes veines. Je suis lĂ  prit au piĂšge dans un cul de sac. Soit je continue de faire le mort en espĂ©rant que cet inconnu s’en aille, en prenant le risque d’ĂȘtre dĂ©couvert s’il avance. Ou alors je me rends en trouvant une veille excuse pour justifier ma prĂ©sence ici en pleine nuit. Soudain, une voix de femme vient briser le silence. Si il s’agit d’un prĂ©fet ou d’un membre du personnel, je suis dans de beaux draps. A priori, je suis grillĂ©. Elle a dĂ©couvert ma prĂ©sence et faire le mort ne sert donc plus Ă  rien, je dois me rendre. Mais je n’ai pas du tout envie de me faire punir. J’ai dĂ©jĂ  suffisamment de problĂšmes comme ça dans ma vie, je ne vais sĂ»rement pas me laisser faire. Que dois-je faire ? Comment sortir de ce pĂ©trin ? Mais voyons Jacquie, tu dois te battre ! Il fait noir, on ne voit rien. Un petit sort et paf te voilĂ  libĂ©rĂ©. Tu n’as aucune chance de te faire griller. Ne te prends pas la tĂȘte avec cette personne. Elimine lĂ  et part d’ici rapidement. Vas-tu un jour porter ton courage Ă  deux mains ? Si tu abdiques lĂ , alors que le plus dur et dĂ©jĂ  fait, tu seras pour moi une mauviette. Un faible, un lĂąche, un rĂ©sidu de la sociĂ©tĂ© qui ne mĂ©rite pas de vivre. Pointe cette fichu baguette sur cette femme et assomme lĂ  ! Sinon, met le feu aux vieilles tables et chaises pour faire diversion. C’est pas en restant lĂ , complĂštement paralysĂ© sur place que les choses vont s’arranger. Jacquie il faut que tu te rendes. Tu as fait quelque chose d’interdit, tu dois maintenant assumer tes actes et accepter la punition que tu mĂ©rites. Il est important Ă  ton Ăąge de commencer Ă  prendre ses responsabilitĂ©s. Au pire, tu Ă©coperas d’une ou deux heures de retenue, on a connu pire comme punition. Si tu restes lĂ  Ă  te cacher et Ă  ne rien faire, cette personne va appeler du renfort et pourrait mĂȘme te jeter un sort dans le doute. Et n’écoute pas ce vieux dĂ©mon tout moisi. Utiliser un sortilĂšge contre cette femme peut te faire exclure de Poudlard donc si j’étais toi, j’abandonnerai tout de suite ce projet machiavĂ©lique. L’adolescent Ă©tait vĂ©ritablement perdu. Il avait le choix entre se dĂ©fendre ou bien se rendre. Mais les muscles de son corps refusaient de bouger. Il Ă©tait comme pĂ©trifiĂ© sur place. C’est avec une certaine apprĂ©hension que Jacquie se dĂ©cala lĂ©gĂšrement de sa cachette dans l’espoir d’apercevoir son interlocutrice. Mais il faisait vraiment trop sombre pour y voir clair. Il inspira un grand coup et prit son courage Ă  deux mains. Le jeune homme sortit de sa cachette et distingua la silhouette de la femme. Il ne pouvait pas voir les traits de son visage ainsi que ses vĂȘtements. C’est compliquĂ© pour lui de voir Ă  qui il avait affaire. C’est avec un soupçon de stress qu’il lui demanda Oui, je suis lĂ ! Je crois que je suis somnambule, je dormais profondĂ©ment quand je me suis rĂ©veillĂ© dans cette piĂšce mystĂ©rieuse. J’ai prit peur quand j’ai remarquĂ© que je n’étais pas tout seul ici, dĂ©solĂ©. » InvitĂ© Re Une piĂšce dĂ©saffectĂ©eInvitĂ©, le Dim 25 Mar - 435 Rengaine infernalePV avec Élius AskinIl a mon LAFin d'une journĂ©e assez banale, il s'est rien passĂ© aujourd'hui. Que c'est triste des journĂ©es grises comme ça. C'est le genre de journĂ©e oĂč l'on se rĂ©veille un peu difficilement, on s'y prend Ă  2 fois pour mettre ses pieds dans les chaussons, on s'Ă©tire, on se frotte les yeux, et on souffle dĂ©jĂ . Et puis s'en suit une journĂ©e d'ennuie sur les bancs de bois des salles de classes, mĂȘme pas de cours pratique aujourd'hui, pas le moindre moulinet du poignet pour jeter un sort, seulement des centaines de mots Ă  Ă©crire Ă  l'encre noire. Je dĂ©pose mes affaires sur mon lit et m'allonge quelques instants, fixant le plafond du baldaquin. Je cherche une idĂ©e, quelque chose Ă  faire, de quoi m'occuper. Pourquoi une petite ronde dans les couloirs ? Doit bien y avoir 1 ou 2 Gryffondors Ă  qui retirer des points. Ouais... Ouais ça me branche ça ! J'enfile ma cape, insigne prĂ©fectorale mise en Ă©vidence et baguette Ă  la main, je passe les tonneaux pour me retrouver dans les couloirs. PremiĂšre destination et pas des moindres, les cuisines. Mais mauvaises pioche, aprĂšs avoir chatouillĂ©e la poire, c'est une piĂšce vide qui s'offre Ă  moi. J'allais ressortir, mais mon regard se pose sur un bocal en verre rempli de sucettes colorĂ©es, alors j'en attrape 2, histoires de rendre ma balade plus plaisante. Je les fourre dans ma poche et repars. Je dĂ©ambule dans les couloirs, tendant l'oreille surtout lorsque je m'approche de salles de classe, car c'est un piĂšge terrible, on s'Ă©tonne pas mal au dĂ©but du nombre d'Ă©lĂšves qui squattent les salles de classes alors que les cours sont terminĂ©s, parfois c'est juste 2-3 Ă©lĂšves qui discutent tranquillement loin des oreilles indiscrĂštes, et puis parfois ce sont des petits malins venus prĂ©parĂ©s une farce pour le lendemain. Mais ce soir encore, c'est assez tranquille, Ă  croire que tous les Ă©lĂ©ments sont rĂ©unis pour passer une journĂ©e complĂštement inintĂ©ressante. Mais je continue un peu, tourne dans ce couloir, puis dans celui lĂ , emprunte cet escalier, ouvre cette porte, la referme... Je continue ainsi de longues minutes. Et puis contre toute attente, mes sens s'Ă©veillent. Il se passe quelque chose, je le sens. J'arrive pas encore Ă  cerner d'oĂč me vient cette sensation. Alors je m'arrĂȘte et Ă©coute. De la musique. Il y a de la musique quelque part. Yes ! Enfin un Ă©lĂšve Ă  virer d'une salle dans laquelle il n'a certainement rien Ă  faire ! Je me laisse guider par la mĂ©lodie, et au fur et Ă  mesure que le son s'amplifie, au fur et Ă  mesure que je m'approche, un drĂŽle de sentiment m'envahit. J'ai le coeur qui bat plus vite, plus fort dans ma poitrine. L'excitation de prendre un Ă©lĂšve sur le vif d'un interdit ? Et puis j'arrive devant la porte entrouverte. Et mon coeur se sert un peu. Sentiment de dĂ©jĂ  vu. VoilĂ  ce qu'il se passe depuis tout Ă  l'heure. Cette porte je la connais, de la musique s'en Ă©chappait dĂ©jĂ . Il y a 4 ans. J'ai envie de me dire que la musique ne se rĂ©pĂšte pas, et que derriĂšre cette porte il n'y est pas. J'ai envie de passer mon chemin, de faire comme si je n'avais rien entendu, et puis je sais que cette salle, c'est juste une vieille salle oubliĂ©e, pas une salle de classe, et le rĂšgle est clair Article 8 Il est interdit d’entrer dans une salle de classe hors de la prĂ©sence du professeur. C'est pas une salle de classe, la personne a le droit d'ĂȘtre lĂ . Je fais demi-tour rapidement et avance de quelques pas avant de me raviser. C'est plus fort que moi, je veux entrer dans la piĂšce, je veux voir si ça a changĂ©. Si IL a changĂ©. Mes doigts frĂŽlent le bois avant d'appuyer doucement dessus, la piĂšce se dĂ©voile un peu plus. Et puis je le vois. C'est les mĂȘmes gestes, la mĂȘme souplesse, la mĂȘme passion. Je suis appuyĂ©e contre la pierre du cadran et je le regarde. Coup d'Ɠil vers le piano, pas de musicien cette fois-ci, les touches s'abaissent elles-mĂȘmes. Et je la reconnais, cette mĂ©lodie, c'Ă©tait la mĂȘme encore une fois. Depuis le dĂ©but je ferme les yeux, je pensais avoir enfoui ce souvenir, et voilĂ  que tout ressurgit. Alors je range ma baguette dans ma cape et je reviens 4 ans en arriĂšre petite fille qui s'assoit contre le mur, Ă  regarder le mystĂ©rieux garçon danser. Il est toujours aussi mystĂ©rieux, il a pas changĂ©. Enfin si un peu, forcĂ©ment, il a grandi, tout ça. Mais au fond il change pas. Je crois que c'est ce qui me fait peur d'ailleurs, que l'histoire se rĂ©pĂšte. Mais pour l'instant, je me contente de le regarder, et de me laisser transporter Ă  Ă©dition par Marjorie Lunas le Jeu 26 Juil - 1721, Ă©ditĂ© 1 fois Élius AskinDirectionSerpentard Re Une piĂšce dĂ©saffectĂ©eÉlius Askin, le Mar 3 Avr - 1028 RP prĂ©cĂšdent Cours de mĂ©tamorphoseLe dernier rayon lĂšche les lames de parquet usĂ© dans la piĂšce dĂ©saffectĂ©e, ultime traĂźnĂ©e orange, Ă©talĂ©e sur le souvenir d'un soir dĂ©jĂ  lointain. Les mĂȘmes notes qu'avant s'enroulent Ă  mes chevilles poussiĂ©reuses, soulĂšvent mon corps affĂ»tĂ©. C'est que le temps a tartinĂ© depuis le ballet improvisĂ©, chargeant de familiaritĂ© chaque dĂ©tail de la musique trop souvent Ă©coutĂ©e. J'ai transformĂ© cette salle isolĂ©e en un prĂ©cieux cocon. Écrin accueillant mes Ă©tats les plus cristallins. Quand la comĂ©die s'Ă©thĂšre sous mes muscles possĂ©dĂ©s ; rĂ©vĂ©lant l'enfant Ă©pris de danse que je suis depuis toujours. L'adolescent, en postures ne trompent plus. L'Ă©chine s'est assouplie avec les annĂ©es ; gorgĂ©e d'une insolente nonchalance. Elle ondule, lente et prĂ©cise, parfois secouĂ©e d'un sursaut, quand le martĂšlement du piano emballe celui de mes entrailles. Alors, je vole ; Ă©crase mes orteils contre les Ă©chardes pour propulser le sarouel en coton gris dans l'air Ă©touffĂ© de la petite Ă©chappatoire. Prisonnier consentant de l'entĂȘtante rengaine, j'y enchaĂźne rĂ©guliĂšrement mes poignets. L'instrument ensorcelĂ© me permet d'assouvir ce caprice plusieurs fois par semaine ; inlassable clĂŽture d'une douloureuse sĂ©ance d'assouplissement. Aujourd'hui n'est pas diffĂ©rent, et ton souffle - Ă  peine perceptible - n'y changera iris claires captent du creux d'un tourbillon ton image indistincte. En recomposent silencieusement l'essence, tandis que j'allonge la foulĂ©e. Te voir ici me ramĂšne Ă  l'Ă©motion de l'arlequine rencontre entre un musicien et son danseur. ScĂšne onirique qu'une spectatrice a fait exister Ă  travers son regard innocent. MalgrĂ© mon apparente ignorance, incapable de rĂ©sister, je continue dĂ©sormais pour toi. Une si belle occasion de renverser ton cƓur de fragile poupĂ©e ne se gĂąche pas. Pendant quelques secondes Ă©tirĂ©es dans l'atmosphĂšre chargĂ©e de la mĂ©lodie aux accents du passĂ©, je soigne mes gestes. Conscient de la dĂ©licatesse d'un crĂ©puscule mourant sur ma peau salie par l'effort ; j'entremĂȘle mes mouvements entre les derniĂšres lueurs du jour et les premiers scintillements de la nuit. BientĂŽt les rĂ©percussions se dĂ©tachent, s'Ă©loignent les unes des autres, et mes enjambĂ©es rĂ©trĂ©cissent. Sans te porter attention, j'me dirige dans le coin opposĂ©, pour que mes lĂšvres puissent rencontrer la dĂ©sirĂ©e bouteille d'eau, en sachant que le piano va jouer un autre morceau. Quelque chose de normalement destinĂ© aux derniers Ă©tirements. D'ailleurs, sans attendre que j'ai fini de boire, les notes s'Ă©coulent, couvrant la muette tension. À peine essoufflĂ©, je repose l'eau sur le sol avant de retirer mon t-shirt pour essuyer le plus gros d'humiditĂ© sur mon front et ma nuque. Toujours dos Ă  toi, je plonge mon visage dans la serviette prĂ©vue Ă  cet effet, puis me retourne en la claquant sur mon petit sourire s'accroche au coin de ma dĂ©marche feutrĂ©e. Je passe encore une fois la serviette sur mes commissures allongĂ©es avant de tendre ma main vers ta silhouette de jeune fille - presque - intimidĂ©e — Viens Ă©dition par Élius Askin le Mer 23 Mai - 1212, Ă©ditĂ© 1 fois InvitĂ© Re Une piĂšce dĂ©saffectĂ©eInvitĂ©, le Lun 30 Avr - 227 AppuyĂ©e contre le mur, une jambe tendue au sol, l'autre repliĂ©e contre moi, entourĂ©e de mes bras, et mon menton posĂ© sur mon genou, je te regarde. Mouvements fluides qui s'enchainent, dynamiques et dĂ©licats, rapides et doux, t'es un oiseau, un rapace qui plane doucement dans un ciel bleu. Cette puissance qui se dĂ©gage dans une tranquillitĂ© dĂ©concertante. Je vis la mĂ©lodie dans mon coeur, et tes pas ancrent les notes un peu plus profondĂ©ment. Je comprends pas ce qui se passe, je comprends pas ce que je ressens. Je te vois lĂ  danser et je me souviens du passĂ©, de cette douce journĂ©e ou je t'ai vu danser, et puis je peux pas m'empĂȘcher de me rappeler le reste, la suite, la douleur. Je te vois danser et je me souviens le soleil, les confettis, mon ange gardien et ta tromperie. Je me suis trop longtemps demandĂ©e ce que je t'avais fait pour mĂ©riter ça, et puis j'ai compris que le problĂšme ne venait pas que de moi. T'as merdĂ© ouais. Tu m'as fait chialer devant une prof que je pouvais Ă  l'Ă©poque pas me saquer. J'Ă©tais en colĂšre contre toi, je le suis peut-ĂȘtre toujours un peu, mais la musique me fait oublier... un peu. MĂ©lodie magique, non pas seulement parce que le piano est enchantĂ©, mais aussi parce qu'elle apaise un peu le feu qui brule en moi. Je me perds un peu plus dans tes mouvements, mes yeux suivent le bout de tes doigts, remontent le long de tes bras, s'arrĂȘtent un instant sur ton torse, pour poursuivre vers tes jambes qui frappent ça et lĂ  le sol, tantĂŽt avec force, parfois en l'effleurant Ă  peine. Et je remonte vers ton visage, fin, dĂ©licat. J'y vois tout plein d'Ă©motions que je n'arrive pas Ă  dĂ©chiffrer. Et puis la musique s'arrĂȘte, toi aussi. Je te regarde te saisir de ta bouteille d'eau, te ressourçant. Je me dis que c'est le moment pour moi d'y aller, de retourner Ă  ma ronde inachevĂ©e, mais de nouvelles notes rĂ©sonnent, alors je reste un peu. Mes yeux ne te quittent pas, et je te vois retirer ton t-shirt. Mes joues rougissent un peu de cette semi-nuditĂ© inattendue. La derniĂšre fois que j'ai vu un peu ton corps c'Ă©tait ce cours de mĂ©tamorphose, oĂč un sort un peu foireux transforme ton pantalon en barreaux de fer. Tu essuies la sueur de ton effort d'un coup de serviette et moi j'admire un peu ce dos musclĂ©, on pourrait dire que je mate oui, mais pourquoi se priver du spectacle ? Claquement de serviette sur ton corps dĂ©nudĂ©, tu t'es tournĂ© vers moi et tu t'approches tranquillement. Mes joues rougissent un peu plus d'ĂȘtre ainsi surprise Ă  te regarder, j'aimais bien quand tu m'ignorais... Tu t'en ta main vers moi et m'invite Ă  danser. A danser ? Moi ? Mes joues s'empourpre de plus belle, je perds mes moyens, j'arrive plus Ă  bouger, Ă  penser. Et sans que je sache vraiment pourquoi - chassez le naturel, il revient en courant - je me surprends Ă  te dire ces mots - Pourquoi pas, mais je te prĂ©viens, j'ai la grĂące d'une m'empare de ta main, profitant de ton bras pour me relever sans efforts. Je sais pas trop ce qui m'a pris d'accepter, mais pas de retour en arriĂšre possible. Je suis plantĂ©e lĂ  devant toi sans savoir quoi faire, j'attends que tu prennes le contrĂŽle, que tu me guides, et je sais que tu le feras, c'est dans ta nature, marionnettiste accomplie, de faire bouger la poupĂ©e que je Ă©dition par Marjorie Lunas le Jeu 26 Juil - 1722, Ă©ditĂ© 1 fois Élius AskinDirectionSerpentard Re Une piĂšce dĂ©saffectĂ©eÉlius Askin, le Ven 25 Mai - 1233 RP prĂ©cĂšdent Cours de mĂ©tamorphose♫Quitte ton mur et viens danser Marjorie. La vie ne se contemple pas ; c'est un spectacle dont nous sommes les vedettes. Ce soir, le ciel a hissĂ© son projecteur le plus prestigieux sur notre scĂšne de bois. Ses rayons d'argent s'enroulent au creux des fossettes ponctuant ton embarras, accentuant tes airs de poupĂ©e dĂ©boussolĂ©e. J'ai pas lĂąchĂ© ta main depuis tout Ă  l'heure, ravi de t'avoir Ă  nouveau entre mes bras. La mĂ©lodie aurĂ©ole nos retrouvailles du souvenir d'une histoire unilatĂ©rale, transporte lentement le poids de mon corps d'un cĂŽtĂ©, puis de l'autre, tandis que je laisse glisser mes pupilles et mes doigts libres dans ton cou. Redessiner ce contour dĂ©jĂ  apprivoisĂ©, dĂ©valer jusqu'Ă  ton poignet fin, et dĂ©poser ta main non-captive sur mon Ă©paule encore brĂ»lante d'effort. Alors que mes yeux clairs se replongent dans les tiens, j'accroche ta hanche en souriant. C'est facile, laisse toi faire. Serrant doucement tes doigts prisonniers, je monte un peu mon coude avant d'avancer un pied qui bute dans ta chaussure. Si j'avance Ă  gauche, tu recules Ă  droite. Maladroitement, tu exĂ©cutes le geste pendant que j'enchaine en heurtant dĂ©licatement tes orteils agrippĂ©s au parquet. Si j'viens Ă  droite, tu fais l'inverse. La tĂȘte basculĂ©e, j'libĂšre quelques Ă©clats enfantins devant ta mine dĂ©confite et abandonne notre posture de valse pour attraper la serviette et Ă©ponger tes paumes moites. Pour tourner, c'est... - prunelle malignes vers le plafond - ...bon, tu verras, c'pas compliquĂ©. On y va ? D'un mouvement, j'envoie l'essuie contre une plinthe de la piĂšce et reviens Ă  toi. InvitĂ© Re Une piĂšce dĂ©saffectĂ©eInvitĂ©, le Sam 23 Juin - 1841 Ma main toujours prisonniĂšre de la tienne tu m'entraĂźnes doucement mais surement au centre de la piĂšce. Mon pouls s'accĂ©lĂšre lĂ©gĂšrement, le trac d'entrer en scĂšne alors que les seuls spectateurs sont les vieux meubles et la poussiĂšre. J'aime danser. Mais seule chez moi, quand il n'y a aucun autre regard pour me juger, aucune autre voix pour se moquer. C'est que je ne danse pas trĂšs bien, on peut le dire, et tu vas vite t'en rendre compte. Nouveau contact de tes doigts sur ma peau, partant de mon coup et glissant jusqu'Ă  ma main libre pour la dĂ©poser sur ton Ă©paule, la pliure de ma main calĂ©e sur ton acromion. Ta peau est chaude et ton regard s'enfonce dans le mien, je rougis lĂ©gĂšrement, de cette ambiance si particuliĂšre et de cette proximitĂ© nouvelle. Et comme si ce n'Ă©tait pas suffisant, tes doigts entourent mes hanches. Mes lĂšvres se pincent, refoulant un sourire, Ă  la fois gĂȘnĂ©e et pourtant agrĂ©able. Cette timiditĂ© soudaine qui refait surface. J'ai grandi, toi aussi, et ce contact avec un amoureux passĂ© me donne de lĂ©ger papillon dans le ventre. Tu me demandes de me laisser faire, mais je n'ai pas le choix, je sais pas trop quoi faire, lĂ  plantĂ©e devant toi. Ta prise se referme, et tu avances vers moi. Je rĂ©agis pas, je sais pas ce que je dois faire, et je sens lĂ  ton pied taper le mien. De toute Ă©vidence, j'Ă©tais censĂ©e le dĂ©placer, alors tu m'expliques calmement le mouvement Ă  faire, hochement de tĂȘte en signe de comprĂ©hension, tu recommences, tu avances et je recule, un peu coincĂ©e, un peu raide, rien de naturel. Puis nouveau choc entre nos pieds, encore une fois j'ai pas assurĂ©. Je t'avais prĂ©venu, jeune cavalier, qu'avec moi tu allais galĂ©rer. Alors tu m'expliques encore, laissant Ă©chapper quelques Ă©clats de rire, un peu moqueur, un peu joueur, mais c'est vrai qu'il y a de quoi rire. Tu danserais avec un balai que tu serais moins embĂȘtĂ©. Mais tu patiente et tu poursuis, sans oublier d'essuyer mes mains moites, trahissant mon Ă©tat. Dernier mouvement, tourner. Mais ce sera de l'improvisation, alors je verrais bien sur le moment, je suis plus Ă  ça prĂšs je suppose
 Nouveau hochement de tĂȘte, pas sĂ»re que je sois prĂȘte mais allons y. Élius AskinDirectionSerpentard Re Une piĂšce dĂ©saffectĂ©eÉlius Askin, le Jeu 12 Juil - 200 RP prĂ©cĂšdent Cours de mĂ©tamorphoseLa poussiĂšre se soulĂšve, rĂ©vĂšle sur fond de clapotis des instincts oubliĂ©s. Contre le bois, un effleurement diffĂ©rent ; celui du garçon qui n'avait jamais arrĂȘtĂ© de jouer Ă  la poupĂ©e. Comme ma main enveloppant la tienne, l'occasion semble irrĂ©elle, cernĂ©e par les rayons d'une lune argentĂ©e. Aucun mur ne saurait nous isoler davantage que l'Ă©crin musical ceinturant ta taille dĂ©jĂ  Ă©prise de mon bras confiant. Les notes s'articulent, lestes, entre nos pupilles rĂ©unies. As-tu compris quand j'ai respirĂ©, que nous allions bientĂŽt dĂ©marrer ? À ta bouche pincĂ©e, Ă  tes iris accrochĂ©es, Ă  tes sourcils froncĂ©s, je concĂšde le oui. Un excĂšs de concentration mĂȘlĂ©e d'Ă©moi qui me fait pouffer, encore une fois. Et le piano continue de tisser cette piste sur laquelle il va falloir s' temps d'un murmure de ta commissure Ă  mes cils, d'un bruissement de tes doigts contre mon Ă©paule, j'avance mon pied. Ne frissonne pas Marjorie car il est temps d'entrer en scĂšne. Le thorax n'est plus une cage lorsque mille battements d'excitation dĂ©cident de le briser, de guider une danse parfumĂ©e d'innocence et de figue sucrĂ©e. Chacune de tes maladresses creuse mes fossettes moqueuses, chacun de mes sourires couvrent tes joues laiteuses. Mais, tu peux trĂ©bucher, si ça te rapproche de moi. J'en profiterai pour resserrer un peu l'Ă©treinte - inspirer - avant d'allonger un poignet qui te fera tourner. Les pas du pantin trouvent refuge au creux de mes gestes avisĂ©s. Du bout des doigts, j'Ă©tire des fils invisibles - dont certains viennent du par l'ivresse de nos rires d'enfants, les corps ralentissent, Ă©touffent les distances Ă  mesures que les accords s'empoignent. Ta main rencontre mon torse et s'enfuit aussitĂŽt, retourne se percher plus haut, Ă  cĂŽtĂ© de mes lĂšvres Ă©tirĂ©es. J'y libĂšre la deuxiĂšme, m'offre un collier de tes bras enlacĂ©s. ArrimĂ©e Ă  la jonction d'une jupe trop scolaire et d'une chemise pas assez froissĂ©e, la promesse d'un moment plus doux s'Ă©chappe de mes doigts qui impriment sur tes hanches un mouvement de balancier. InvitĂ© Re Une piĂšce dĂ©saffectĂ©eInvitĂ©, le Ven 27 Juil - 335 Je te vois pouffer, tu te moques de moi, de mon sĂ©rieux. Oui monsieur, je suis concentrĂ©e et alors ? Je m'occupe de te sauver les orteils, tu devrais ĂȘtre reconnaissant. D'ailleurs je te le fais remarquĂ© Ă  ma façon, petite tape sur le pectoral, sourire en coin et mots chuchotĂ©s. - Te moques pas !Petite pause dans la mĂ©lodie, une seconde Ă  peine, annonçant le dĂ©but de notre danse. Et j'oublie la leçon apprise un instant plus tĂŽt. Je calcule pas, je regarde pas tes pieds, je me contente de suivre tes pas, me trompant parfois, et si au dĂ©but je rougis face Ă  ton sourire qui signifie "j'ai vu ta bourde", petit Ă  petit je m'en fiche. Et je souris avec toi de mes erreurs. Marionnettiste expert mais poupĂ©e imparfaite, mes mouvements bloquent, mĂ©canique pas bien huilĂ©e, Ă  toi peut-ĂȘtre d'utiliser tes gestes habiles pour remĂ©dier Ă  cela. Je me pose d'ailleurs pas trop de questions Ă  ce sujet, tu sais saisir l'instant au creux de tes doigts pour me serrer un peu plus contre toi. Peut-ĂȘtre simplement pour Ă©viter de nous voir s'Ă©taler sur le plancher, ou peut-ĂȘtre parce que ça te plait aussi cette proximitĂ©. Un peu des deux je suppose. Et tu me fais tourner, me laissant admirer la salle le temps d'une seconde tout au plus. Et c'est pour moi une drĂŽle de sensation que d'ĂȘtre omnisciente lĂ  oĂč il y a quelques temps j'Ă©tais assise lĂ  bas, Ă  te regarder danser, seul. Je tourne encore, ancrant un peu plus les souvenirs du passĂ© dans le prĂ©sent, la vieille scĂšne s'inscrit dans le praxinoscope d'aujourd'hui, se reflĂ©tant dans le miroir de nos corps enlacĂ©s maintenant. Je tourne et je souris, je ris mĂȘme de cette insouciance retrouvĂ©e le temps d'un instant. Et la musique redescend, enchaĂźnant sur une nouvelle, envoutante. Moment d'Ă©garement, le temps de poser ma main sur les muscles tendus de ton torse, mais je me ravise, je sais plus ce que je fais et ma main vient se replacer sur ton Ă©paule. Mais tu libĂšres mon autre poignet, alors j'en profite, posant ma main sur ton cou et laissant glisser mes bras autour, approchant un peu plus ton visage du mien. Je sens ton souffle chaud, lĂ  tout prĂšs et tu dois sĂ»rement sentir le mien aussi. Mes bras t'enlaçant et tes mains posĂ©es sur mes hanches, on se balance au rythme de la musique, tournant tout doucement, mes pupilles plongĂ©es dans les tiennes, et nos sourires accrochĂ©s. Voudrais-tu voir mon sourire d'un peu plus prĂšs ? Alors j'approche mes lĂšvres de ton visage, et dĂ©pose un baiser sur ta joue, humide de tes efforts, mais pas trop loin de tes lĂšvres. - Merci pour la danse. Je replonge mon regard dans le tien, avec ce qui semble ĂȘtre un soupçon de taquinerie peut-ĂȘtre. Tu aimes t'amuser il me semble et je te propose d'ĂȘtre le maĂźtre du jeu. Enfin pas vraiment, disons que c'est ainsi que les choses se sont imposĂ©es. Je resserre un peu plus mes bras autour de toi. - Et maintenant Monsieur Askin ? La leçon serait-elle finie ? DĂ©jĂ  ? Élius AskinDirectionSerpentard Re Une piĂšce dĂ©saffectĂ©eÉlius Askin, le Sam 18 AoĂ» - 1353 RP prĂ©cĂšdent Cours de mĂ©tamorphose♫Le spectacle est un Ă©crin permettant toutes les illusions. Abandonne-toi au creux de la plus vieille piĂšce d'un chĂąteau usĂ©, je te ferai danseuse unique d'une boĂźte chimĂ©rique. Mes attentions savent ĂȘtre dĂ©licates car aucune porcelaine n'a plus d'attrait que celle prĂȘte Ă  se briser. Un plaisir trahi par ma commissure se creusant sous l'effet de ton baiser. Les noires et blanches se succĂšdent, comme autant de touches installant la dalle d'un plateau d'Ă©checs Ă  nos pieds, et une lueur joueuse dans tes yeux. Penses-tu ĂȘtre la dame, Marjorie ? Mes lĂšvres ne bougent pas mais mon corps rĂ©pond ; habitĂ© d'une nouvelle idĂ©e. Il est doux, le balancier animant nos mĂ©caniques qui aiment Ă  se retrouver. Sans quitter tes iris noisettes du regard, je fais glisser mes doigts depuis ton bassin jusqu'Ă  tes poignets. Une ascension effleurĂ©e promettant des frissons.— Ferme les yeux - murmurĂ© en souriant. Tu obĂ©is, docile poupĂ©e, laissant mes mains entrainer tes poignets dans mon dos. La tentation devient trop grande face Ă  ton visage ainsi offert ; alors, sans pouvoir me retenir davantage, je dĂ©guste ta bouche oubliĂ©e. Juste un petit bout. À peine de quoi se souvenir du parfum, prologue vite interrompu par le piano. As-tu senti que je suis passĂ© derriĂšre toi ? Croisant tes bras sur ton ventre tiĂšde, nos doigts toujours liĂ©s. Mon torse se gonfle contre tes omoplates, mon souffle s'enroule Ă  ton oreille. Danse pour moi - intimĂ© tandis que je ne te tiens plus que par ma respiration. Il ne faudrait pas contrarier le fou Ă©pris d'hĂ©rĂ©sie. InvitĂ© Re Une piĂšce dĂ©saffectĂ©eInvitĂ©, le Lun 17 Sep - 2107 Mes yeux plongĂ©s dans les tiens, j'attend la nouvelle rĂšgle du jeu, car je sais que tu ne t'arrĂȘteras pas lĂ , tu aimes t'amuser et slalomer entre les Ă©motions. L'interrogation que j'ai, celle qui illumine mon regard et dont tu t'es rapidement emparĂ©e, c'est celle des rĂšgles du jeu justement. Quelles sont-elles ? Y en a t-il ? Si oui tu les contrĂŽles, tu les modules, et tu les façonnes une nouvelle fois de tes mains qui glissent sur mon bassin, remontent dans mon dos, caressent mes bras pour se saisir de mes poignets. Longue caresse oĂč chaque muscle s'est contractĂ©, dans une vague de frisson. Mon regard toujours ancrĂ© dans le tien, tu me demandes dans un sourire de fermer les yeux, et j'obĂ©is, mon pouls augmentant tout Ă  coup, de ne pas savoir ce que tu me rĂ©serves, de ne pas voir ce que tu me prĂ©pares. Je sens mes mains entraĂźnĂ©es dans un nouvel espace. Pas d'Ă©paule, pas de mains, mais plutĂŽt le creux de tes reins. J'esquisse un sourire, pour cette nouvelle danse troublante qui semble se pointer. Mais avant cela une introduction. Je ne parle pas du piano, il n'a pas commencĂ© Ă  envoyer dans cet univers sa nouvelle mĂ©lodie, je parle de toi. De tes lĂšvres visitant les miennes le temps d'un baiser, trop court Ă  mon gout, car le piano a dĂ©cidĂ© d'interrompre la parenthĂšse enchantĂ©e pour offrir ses notes qui le sont tout autant. Je te sens te dĂ©tacher, mais le voile de tristesse de sentir nos corps Ă©loignĂ©s n'a pas le temps de s'installer, car l'instant d'aprĂšs tu es derriĂšre moi. Nos doigts enlacĂ©s sur mon abdomen, bougeant au rythme de ma respiration, et de la tienne que je sens dans mon dos et Ă  mon oreille, calĂ© l'un et l'autre sur le rythme de la musique. J'ai gardĂ© les yeux fermĂ©s, ne laissant pas la lumiĂšre parasiter l'instant, mĂ©morisant plutĂŽt les gestes et les sensations. Doux balancier qui me fait voyager, dans un monde encore inexplorĂ©. Mais il y a un contact que je n'ai pas assez prolongĂ© celui de tes lĂšvres sur les miennes, alors quand les derniĂšres notes rĂ©sonnent, je n'ai qu'Ă  tourner la tĂȘte un peu plus, sentant ton souffle se dĂ©placer sur ma joue, pour finalement poser un baiser sur la zone ciblĂ©e. Mais je m'arrĂȘte lĂ  n'osant pas t'embrasser plus longuement, malgrĂ© l'envie qui me fait sourire et qui provoque les fameux papillons dans le ventre. C'est que je ne veux pas abuser, ni ĂȘtre déçue, de savoir que tout ceci n'Ă©tait qu'un jeu dont tu avais dĂ©cidĂ© la fin quelques instants avant. Re Une piĂšce dĂ©saffectĂ©eContenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
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Jai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer au souffle du vent . elle-perd-ses-vers. Description : Elle perd ses vers mais persĂ©vĂšre. Elle pensait pouvoir s'organiser mais aprĂšs pas mal d'efforts Connexion Pseudo Mot de passe Mot de passe perdu ? Inscrivez-vous ! NOTRE SITE ** A C C U E I L ** * REGLES & USAGES * Manifeste Livre d'or Rubriques Exprimez-vous ! LittĂ©rature Vos poĂšmes PoĂšmes Ă  plusieurs PoĂšmes Ă  Ă©couter PoĂšmes d'auteurs Lettres d'amour Prose Contes et nouvelles Jeux poĂ©tiques Citations Blagues & devinettes Musique Vos musiques & chansons Musiques et Chansons cĂ©lĂšbres Vos classiques Arts Plastiques CrĂ©ations artistiques Photographies VidĂ©os Divers Partages Oasiens Concours PoĂšmes Ă  thĂšme libre PoĂšmes Ă  thĂšme Citations Coups de coeur des membres NominĂ©s Concours Libre A thĂšme Citations Coups de coeur De l'Ă©quipe Des mascottes Des membres FĂȘtes FĂȘtes oasiennes Petites annonces Ventes Achats Services Divers Nos Artistes PrĂ©sentez-vous ! Vos blogs perso Vos rĂ©alisations Vos illustrations Vos recettes Vos cartes postales Hommages A NELLYFEE A ANNIE A HONORÉ A DUMNAC A SHOVNIGORATH A LUTHORIENTAL A VIKTHOR A KERABAN Nos services Prosodie Foire aux questions Forum du site Qui est en ligne 73 utilisateurs en ligne dont 62 sur PoĂšmes en ligneMembres 2InvitĂ©s 71 Ancielo, ZAGHBENIFE, plus... Choisissez Dictionnaires Français Conjugaison Synonymes Noms propres Rimes InversĂ© PoĂ©tique Prosodie Citations Multilingue COMPLET Correcteur d'orthographe HĂ©bergez vos images Droits d'auteur Copyright Index des forums de Oasis des artistes Le plus beau site de poĂ©sie du web / PoĂ©sie, littĂ©rature, crĂ©ations artistiques... Vos poĂšmes ***UN SEUL PAR JOUR*** Les "poĂšmes" Ă©rotiques descriptifs ne sont pas les bienvenus sur ce site J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ...Enregistrez-vous pour poster A plat Sujet prĂ©cĂ©dent Sujet suivant ExpĂ©diteur Conversation Cavalliero EnvoyĂ© le 8/5/2016 2028 Plume de platineInscrit le 24/3/2016De De Breizh dite IzelEnvois 2164 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ...que c'est beauet"J'ai le sensible Ă  fleur d'une peau de chrysanthĂšme"il y avait a aura un chanceux A plat Sujet prĂ©cĂ©dent Sujet suivant Sujet ExpĂ©diteur Date J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ... jessye 3/5/2016 1734 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ... parfundoux 3/5/2016 1804 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ... islander 3/5/2016 1810 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ... Noel-Opan 3/5/2016 1815 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ... katychams 3/5/2016 1818 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ... chris-ray 3/5/2016 1819 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ... ROLLANDPOEME 3/5/2016 1855 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ... Chibani 3/5/2016 1910 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ... ISABELLE59 3/5/2016 1920 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ... Denise12 3/5/2016 1921 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ... Gabriellee 3/5/2016 1925 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ... Peyrepertuse 3/5/2016 1945 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ... rivedusoleil 3/5/2016 2014 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ... Lochaber 3/5/2016 2029 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ... Dom 3/5/2016 2029 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ... poemic 3/5/2016 2110 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ... EvilFranck 3/5/2016 2140 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ... Ogr3 3/5/2016 2306 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ... Porthos 4/5/2016 1015 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ... hakimAR 4/5/2016 1233 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ... Coconuts 4/5/2016 1249 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ... keraban 4/5/2016 1553 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ... Bulle Des Terres 5/5/2016 704 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ... moz-art 6/5/2016 1129 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ... berrichonne 7/5/2016 1247 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ... MICKAELLE 7/5/2016 1329 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ... Dumnac 7/5/2016 1356 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ... blackbywhite 7/5/2016 1515 » Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ... Cavalliero 8/5/2016 2028 Re J'ai rĂȘvĂ© qu'on pouvait s'aimer ... anonyme 15/3/2018 1931 Enregistrez-vous pour poster Àlire pour plus tard. Avant, j'avais des principes et puis, j'ai eu un enfant. Vous savez ce qu'on dit: entre la thĂ©orie et la pratique, il y a un monde et il y a surtout un enfant, avec sa personnalitĂ© et ses goĂ»ts, qui vous fait des gros yeux de chat malheureux quand on n'accĂšde pas Ă  ses requĂȘtes. Avant d'avoir un enfant, j'avais dit
C'est Ă©crit dans tes yeuxQuand tu parles de ta vieC'est Ă©crit dans tes rĂȘvesDans tes moindres enviesCette force qui te porteJ'en ai besoin aussiC'est Ă©crit quand tu danses La suite des paroles ci-dessous Quand tu fermes les yeuxRien n'a plus d'importanceRien de ce qu'on avoueSi c'est ton corps qui bougeC'est ton cƓur qui fait toutJe veux te voir changerJe veux te voir bougerJe veux te voir crier ton plaisirJe veux te voir vibrerEt te voir te leverJe veux te voir crier tes dĂ©sirsAimer vivreAimer vivreOh c'est Ă©crit dans tes mainsQuand elles suivent ma voixC'est Ă©crit sur ta boucheQuand je vois ton sourireComme tu peux partir loinQuand la musique est lĂ Tu peux mourir demainQuand la musique est lĂ Je veux te voir changerJe veux te voir bouger La suite des paroles ci-dessous Je veux te voir crier ton plaisirJe veux te voir vibrerEt te voir te leverJe veux te voir crier tes dĂ©sirsAimer vivreAimer vivreOh, aimerOui, donnerVibrerTanguerTanguerCrierHurlerAimerAimer vivreAimer vivreAimer vivreAimer vivreJe veux te voir bougerJe veux te voir, je veux te voir te leverJe veux te voir te leverJe veux te voir vibrerJe veux te voir vibrerJe veux te voir vivreJe veux te voir vivreEt aimer,Et aimer,Et aimer,Et aimer. Les internautes qui ont aimĂ© "Aimer vivre" aiment aussi
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