CĂ©tait un 21 janvier: Louis XVI est dĂ©capitĂ©. Alors quâEmmanuel Macron doit commĂ©morer ce matin au PanthĂ©on lâanniversaire de la proclamation de la IIIe RĂ©publique, retour sur laTribune libre Ce gouvernement technocratique nâa aucun idĂ©al. Il dirige le pays comme un manager une entreprise, en faisant reposer la pĂ©rennitĂ© de celle-ci sur la rentabilité» Il y a quelques jours, le prĂ©sident de la RĂ©publique appelait les Français au sacrifice au nom de la libertĂ©. Ce 24 aoĂ»t, le chef de lâEtat est allĂ© plus loin, annonçant la fin dâune insouciance, dâune Ă©poque, de lâabondance. En rĂ©sumĂ©, la fin de lâespoir pour les gĂ©nĂ©rations futures. Par ces propos martiaux, le chef de lâEtat cherche surtout Ă prĂ©parer les esprits Ă lâĂ©chec cuisant de sa politique libĂ©rale, antisociale et menĂ©e avec violence Ă lâĂ©gard des cette injonction Ă oublier le monde dâavant pour un monde dâaprĂšs, fait de sacrifices et de dĂ©sespoir, Emmanuel Macron rĂ©vĂšle lâanĂ©antissement de la pensĂ©e politique au profit dâune pensĂ©e froide analytique qui, si elle est apte Ă compter, est inapte Ă proposer un idĂ©al et des solutions. DerriĂšre cette posture, quâil souhaiterait ĂȘtre celle dâun homme dâEtat, nâhĂ©sitant pas Ă utiliser le pays au service de sa gloire et de sa postĂ©ritĂ©, demeure un comportement dangereux pour la nation et lâesprit mĂȘme des Français. La nation, disait Renan, ce sont des ĂȘtres diffĂ©rents conduits vers un mĂȘme idĂ©al. Dans la France macroniste, lâidĂ©al nâa plus de en mars 2020, le chef de lâEtat, face Ă une Ă©pidĂ©mie quâil avait appelĂ© une guerre, avait exhortĂ© les Français Ă la peur. Aujourdâhui, il les enjoint de nouveau Ă craindre lâavenir. Jamais, durant ces deux annĂ©es, Emmanuel Macron nâa appelĂ© au courage des Français, comme le firent ceux dont il semble rĂȘver le destin Winston Churchill, le gĂ©nĂ©ral de Gaulle⊠Pourquoi ?SujĂ©tion. Parce quâĂ la diffĂ©rence des grands hommes qui conduisirent la France plongĂ©e dans de grands tourments, ce gouvernement technocratique nâa aucun idĂ©al. Il dirige le pays comme un manager une entreprise, en faisant reposer la pĂ©rennitĂ© de celle-ci sur la rentabilitĂ©. Sans jamais se soucier du long terme, sans jamais se poser la question de la condition y a quelques jours, Olivier Dussopt, ministre du Travail, enterrait la sociale dĂ©mocratie, appelant au progressisme, soit la sujĂ©tion de lâhomme aux ambitions Ă©conomiques du pays. Aujourdâhui, le chef de lâEtat appelle Ă enterrer la France, Ă oublier le modĂšle dĂ©mocratique au profit du pragmatisme, lâidĂ©al humaniste au profit de la gestion comptable du pays. Devant lâĂ©chec de sa politique sur un plan diplomatique, Ă©conomique, social, Emmanuel Macron accusait hier lâEurope. Aujourdâhui, il accuse le climat mondial » Ces propos sont-ils audibles de la part dâun prĂ©sident de la RĂ©publique garant des institutions et, de fait, dâun modĂšle rĂ©publicain construit depuis des dĂ©cennies par la volontĂ© des propos sont-ils dignes de la part dâun homme qui se voudrait dâEtat ou dâun homme qui se rĂȘve politique ? Quel est le but de tous ces discours belliqueux Ă lâĂ©gard des pays Ă©trangers, des affronts aux dirigeants dâAfrique ? Quel avenir offrir Ă la France dans un monde oĂč notre modĂšle dĂ©mocratique subit depuis cinq ans les attaques incessantes de ceux censĂ©s le dĂ©fendre ?Excuses. Les Français ne veulent pas sâisoler sur la scĂšne internationale. Les Français ne veulent pas de cette guerre Ă laquelle le prĂ©sident de la RĂ©publique semble rĂȘver le matin en se rasant, allant jusquâĂ supprimer, en plein chaos international, le corps diplomatique, une fiertĂ© nationale, qui est la seule clef viable dâune nĂ©gociation entre Français ne veulent pas dâun pays administrĂ© le plus souvent contre leurs intĂ©rĂȘts, mais rĂȘvent dâune nation lâĂ©chec de sa politique sur un plan diplomatique, Ă©conomique, social, Emmanuel Macron accusait hier lâEurope. Aujourdâhui, il accuse le climat mondial. Au final, derriĂšre toutes ces excuses ne demeure quâune seule rĂ©alitĂ© aprĂšs avoir entachĂ© la souverainetĂ© de la France, le prĂ©sident de la RĂ©publique enterre un modĂšle qui fut la lumiĂšre de lâEurope durant des siĂšcles, relĂ©guant les discours francophiles Ă des postures Emmanuel Macron tente de nous faire croire quâaimer la France, câest ĂȘtre dĂ©connectĂ© des enjeux du monde parce que dans ce monde globalisĂ©, lui et son gouvernement ont Ă©tĂ© incapables de dĂ©fendre le modĂšle français. Aimer la France, ce nâest pas haĂŻr lâautre. Aimer la France, câest la rĂȘver prestigieuse dans la grande marche du monde et certainement pas demander Ă son peuple de la sacrifier au profit dâun nouvel ordre mondial qui serait Houpert est sĂ©nateur LR de la CĂŽte-dâOr, membre de la commission des affaires Ă©trangĂšres, de la dĂ©fense et des forces armĂ©es. Billetde blog 16 mai 2012. Moi, PrĂ©sident de la RĂ©publique. Toi, Angela. La pluie, la grĂȘle, la foudre mĂȘme et tous les guerriers du Walhalla rĂ©unis nâauront pas rĂ©ussi Ă empĂȘcher Les 4 autres poids-lourds pensent que lâavenir ne passe plus par le parti... Stephane Mahe / Reuters La prĂ©sidence des RĂ©publicains, ce graal qui ne fait rĂȘver que Laurent Wauquiez Stephane Mahe / Reuters DrĂŽle de compĂ©tition, pour le leadership LR il y a la premiĂšre compĂ©tition, officielle et ouverte, entre quatre candidats Ă la prĂ©sidence du parti, Laurent Wauquiez faisant figure de grand favori, Ă deux mois de l'Ă©chĂ©ance en tout cas on sait ce qu'il est advenu des favoris dans cette famille. Et il y a, en retrait de l'avant-scĂšne, quatre poids lourds qui fourbissent leurs armes et bĂątissent une stratĂ©gie ils prĂ©disent que l'avenir et le leadership de la "famille" LR se jouera en dehors du parti. Laurent Wauquiez, lui, est persuadĂ© non seulement que sa victoire sera aisĂ©e en dĂ©cembre, que le corps Ă©lectoral des militants encartĂ©s Ă LR n'aura pas d'autre choix crĂ©dible que de voter pour lui aucun des trois autres candidats, Ă ses yeux, ne roulant dans sa catĂ©gorie mais aussi qu'il aura une nette longueur d'avance en "prenant le parti", dans la course de fond qui ne fait que commencer, du cĂŽtĂ© d'une "droite dĂ©complexĂ©e" qu'il veut incarner depuis l'Ă©chec de François Fillon Ă la prĂ©sidentielle. Wauquiez s'est moulĂ© en bon successeur-imitateur de Sarkozy Pour cet ancien adepte d'une droite sociale et europĂ©enne, passĂ© aprĂšs quelques annĂ©es et des conseils de Patrick Buisson notamment Ă l'ultra-droite Ă penchant souverainiste et "identitaire", sa campagne Ă©lectorale actuelle a un but assez clair maĂźtriser l'appareil LR, son budget, ses salariĂ©s et, au-delĂ des militants restĂ©s encartĂ©s dont il devine qu'ils n'ont aucun penchant pour la modĂ©ration, un rĂ©seau d'Ă©lus locaux qui reste le premier de France. Les derniĂšres Ă©lections sĂ©natoriales l'ont rappelĂ©. Tout cela, pour le prĂ©tendant Ă la prĂ©sidence du parti, moulĂ© en bon successeur -et imitateur- de Nicolas Sarkozy pour accĂ©der Ă cette fonction partisane, qui reprĂ©sente un prĂ©cieux trĂ©sor de guerre, malgrĂ© les deux lourdes dĂ©faites politiques celle de François Fillon, dĂšs le premier tour de la prĂ©sidentielle en avril 2017, et celle de Nicolas Sarkozy, dĂšs le premier tour de la primaire de la droite, en novembre 2016. Tous les hauts responsables de ce parti n'ont bien sĂ»r pas la mĂȘme analyse du double Ă©chec, de l'ancien PrĂ©sident de la RĂ©publique et de l'ancien Premier Ministre, aujourd'hui retirĂ©s de la politique. Quatre poids lourds font mĂȘme le pari inverse l'avenir ne passera pas par le parti. Le sujet a Ă©tĂ© mĂ»rement rĂ©flĂ©chi par deux actuels PrĂ©sidents de rĂ©gion, qui pĂšsent lourd dans cette famille de la droite rĂ©publicaine Xavier Bertrand et ValĂ©rie PĂ©cresse. Tous deux ont compris, notamment lors de leur campagne et leur victoire Ă la tĂȘte des rĂ©gions Hauts-de-France et Ile-de-France il y a deux ans, puis en vivant ensuite dans une certaine douleur les campagnes des primaires, puis de la prĂ©sidentielle, que la force partisane n'Ă©tait vraiment plus ce qu'elle Ă©tait du temps du RPR de Papa Chirac, et mĂȘme du temps de l'UMP du grand frĂšre JuppĂ©. Des partis assimilĂ©s Ă des affaires et de petites combinaisons DiscrĂ©dit croissant des appareils partisans, assimilĂ©s Ă des affaires incessantes et des combinaisons insignifiantes, incapacitĂ© des partis Ă favoriser la participation civique sur des enjeux puissants, difficultĂ© des mĂȘmes partis Ă faire Ă©merger des idĂ©es originales et des projets prĂ©sidentiels solides et cohĂ©rents... tout cela a conduit Ă l'Ă©mergence de phĂ©nomĂšnes nouveaux, qui se sont dĂ©veloppĂ©s en dehors du cadre des partis traditionnels. Le "dĂ©gagisme" est bien sĂ»r passĂ© par lĂ , ou plus exactement, a Ă©tĂ© la rĂ©sultante d'un vaste et lent processus d'autodestruction des partis classiques, dits de gouvernement. Le PS a Ă©tĂ©, en cette annĂ©e 2017, le plus impactĂ©, contraint mĂȘme Ă vendre son immeuble, Ă©vitant de peu d'ĂȘtre rayĂ© de la carte d'une reprĂ©sentation consistante Ă l'AssemblĂ©e Nationale. Le LR a mieux rĂ©sistĂ© aux Ă©lections lĂ©gislatives de juin, mais rien ne dit que la force de l'appareil LR y est pour quelque chose... Et si Laurent Wauquiez misait son avenir Ă partir d'un calcul vieux de 15 ans? Certains, y compris dans le camp trĂšs conservateur des ex-fillonistes et ex-sarkozistes, soulignent aujourd'hui, en coulisse et de maniĂšre totalement dĂ©tachĂ©e, l'erreur stratĂ©gique commise en 2014 par Nicolas Sarkozy lui-mĂȘme, entraĂźnĂ© et aveuglĂ© par ses amis d'alors Morano, Hortefeux..., qui estimaient que la meilleure maniĂšre d'emporter la prĂ©sidentielle Ă©tait dĂ©jĂ de "prendre le parti"! RĂ©sultat, il est vrai avec une sĂ©rie d'autres boulets qui l'ont trĂšs sĂ©rieusement handicapĂ© â son bilan de chef de l'Etat, son entourage, son comportement incorrigible, les affaires... - Nicolas Sarkozy n'a mĂȘme pas passĂ© la barre du premier tour... de la primaire de la droite. Ne pas s'embarquer "dans la galĂšre de l'appareil LR" Enorme dĂ©convenue du camp sarkoziste, qui n'en s'est d'ailleurs pas remis, mais qui n'a pas empĂȘchĂ© Laurent Wauquiez de tenter d'imiter le maĂźtre! Dans sa gestuelle comme dans son positionnement idĂ©ologique. Mais, avec moins de talent politique que l'ancien PrĂ©sident de la RĂ©publique, aura-t-il un meilleur rĂ©sultat, Ă terme, et au final en 2022? Beaucoup d'eau coulera sous le pont Mirabeau d'ici lĂ , personne ne peut prĂ©dire qui sortira fortement du lot de ces compĂ©titeurs. Mais certains hauts responsables ont bien pris garde de pas s'embarquer "dans la galĂšre du parti". Ainsi, celui qui Ă©tait prĂ©sentĂ© au printemps comme un Premier-ministrable de François Fillon, Bruno Retailleau, réélu Ă la tĂȘte de plus de deux cent sĂ©nateurs LR, tout comme l'ancien PrĂ©sident de la rĂ©gion PACA, Christian Estrosi, ont bien veillĂ© Ă rester en dehors de l'arĂšne partisane, qui leur est apparue bien Ă©triquĂ©e pour en faire ressortir une ambition politique Ă la fois attractive, crĂ©dible et rassembleuse. Bruno Retailleau, comme Christian Estrosi, Xavier Bertrand et ValĂ©rie PĂ©cresse, parient tous les quatre bien davantage sur la force d'une identitĂ© politique et personnelle, rĂ©sultant Ă la fois de leur expĂ©rience du terrain rĂ©gional, d'un positionnement original assumĂ© et d'un investissement dans le dĂ©bat d'idĂ©es qu'il juge bien plus productif d'effets positifs que toute posture partisane. Chacun Ă leur maniĂšre, dans ce quarteron d'Ă©ventuels prĂ©tendants au statut convoitĂ© de prĂ©sidentiable LR, a pensĂ© ou pense aujourd'hui Ă la fois crĂ©er un club d'idĂ©es et provoquer un mouvement d'opinion en leur faveur Ă l'occasion d'Ă©vĂ©nements futurs. Chacun d'entre eux a aussi, et peut-ĂȘtre mĂȘme surtout, trĂšs bien vu, a posteriori et avec une certaine admiration qui reste officieuse, l'opĂ©ration Macron lancĂ©e en 2016 et comment un ancien Ministre que tout le monde croyait isolĂ© a rĂ©ussi, en dehors de tous les partis en place, Ă conquĂ©rir les Français et l'ElysĂ©e, en explosant au passage une grande partie du paysage politique. Aucune de ces quatre personnalitĂ©s LR ne dira bien sĂ»r publiquement, "chapeau l'artiste". Mais tous les quatre estiment que la politique Ă l'ancienne est moribonde et que, dans le court terme, tout est bon Ă prendre... sauf la place de prĂ©sident du parti LR. VoilĂ pourquoi ils ont laissĂ© le chemin si libre Ă Laurent Wauquiez. Bien sĂ»r, ce dernier peut tenter de faire de son parti une future Ă©curie prĂ©sidentielle Ă son seul service. Mais la ficelle apparaĂźtrait si grosse, y compris au regard trĂšs attentif de ses petits camarades, qu'elle pourrait devenir une chaĂźne de plomb aussi lourde que le boulet partisan qu'elle traĂźne. Suivre Jean-Philippe Moinet sur Twitter Ă voir Ă©galement sur Le HuffPost
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Autitre de la présidence du Conseil de l'Union européenne et comme Président de la République française, je veillerai moi aussi à ce que cet exercice ne reste pas un exercice
Certainsd'entre eux n'ont mĂȘme aucune notion des attributions d'un prĂ©sident de la RĂ©publique et savent qu'ils n'ont aucune chance de gagner. Mais ils sont candidats quand mĂȘme et affectent de se prendre trĂšs au sĂ©rieux. Que voulez-vous : l'institution prĂ©sidentielle a tellement traĂźnĂ© dans les ruisseaux ces derniĂšres dĂ©cades que n'importe quel zigoto croit pouvoir devenir
Cequi, du reste, est un objectif envisageable, selon le nouvel alliĂ© de la mouvance prĂ©sidentielle. « Nous remercions le PrĂ©sident Macky Sall de nous avoir permis dâentrer en possession de ce terrain. Câest son record Ă lui. La prochaine Ă©tape pour nous, câest dâatteindre la demi-finale de la Coupe du monde qatarie.
AnatoleFrance peut ainsi affirmer en 1908 que « la France est soumise à des compagnies financiÚres qui disposent des richesses du pays et, par les moyens d'une presse achetée, dirigent l'opinion ».Les scandales ne se limitent pas à celui de Panama. En 1904, Le Matin révÚle que le ministre de la guerre, le général André, a établi des fiches sur les opinions
ValĂ©riePĂ©cresse, prĂ©sidente sortante de la rĂ©gion Ăle-de-France, candidate Ă sa réélection, tĂȘte de liste "Ăle-de-France RassemblĂ©e", liste de rassemblement de la droite et du centre, est l'invitĂ©e de France Inter mardi 22 juin 2021.
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